Chronique

NITWITS
Le Marécage de la Mélancolie

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Autoproduction



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Mardi 23 décembre 2008

Le groupe Marseillais NITWITS
NITWITS
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aime cacher son jeu et même dans sa biographie, il se dévoile peu. Les pistes sont brouillées, par le nom de groupe qui évoque peu ou plutôt des interrogations sans réponse, par le titre de l’album qui suggère des atmosphères lourdes et sombres, façon Post-Hard-core, par les premières notes de basse qui ouvre l’album plutôt Punk et Crust.

Très vite NITWITS
NITWITS
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fait penser à un autre groupe non-formaté, qui associe diverses influences et courants musicaux en une sauce réussie : KYLESA
KYLESA


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. On y retrouve ce mélange Punk, Noise, Agressif, Psyché, Métal… et oh bonheur, sans chercher à en être la copie. En effet, si KYLESA
KYLESA


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a développé son jeue métal, NITWITS
NITWITS
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plonge corps et âmes dans des racines 90’s marquées par le label SubPop (MUDHONEY
MUDHONEY


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, NIRVANA
NIRVANA


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, SONIC YOUTH
SONIC YOUTH


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…).

La production de cet album va d’ailleurs de pair avec cette attitude, appelée Grunge, qui voulait salir son son. Par contre, le début des plages agace par un découpage imprécis qui laisse un long blanc.

Le Marécage de la Mélancolie est une bonne surprise séduisante. On ressent bien plus que du potentiel derrière NITWITS
NITWITS
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qui certes doit encore maîtriser sa production pour aller plus loin, mais assure déjà d’une belle personnalité et de compétences artistiques fortes. On attendra d’ailleurs bien plus qu’une confirmation de leur talent sur la prochaine plaque… on réclamera une claque magistrale ! La pression est mise.
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