Chronique

ROLLERBALL
Two Feathers

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Wallace Records / Mandaï Distribution



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Mardi 15 juin 2010

14 albums en 15 années d’existence, voilà ce qui s’appelle être prolifique, même si ROLLERBALL
ROLLERBALL
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ne rencontre qu’un succès plutôt mitigé. On se demande d’ailleurs pourquoi car à l’écoute de ce Two Feathers, on est loin de l’inaccessibilité habituelle de Wallace Records ou des labels italiens dont Mandaï Distribution nous gratifie régulièrement.

À la jonction de ce que certains nommeront Dark Jazz ou Noise Funk, ROLLERBALL
ROLLERBALL
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propose une musique savante à l’orée de la Pop de chambre ou du Jazz-Trip-Hop. Une voix féminine et des ambiances raffinées qui ne manquent pas de rythmes et l’on pense très vite à un PORTISHEAD
PORTISHEAD


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dans une version plus organique.

Axé adroitement donc sur la combinaison des mélodies et d’expérimentations délicates, ROLLERBALL
ROLLERBALL
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pourrait plaire à des amateurs venus d’horizons différents. À la fois ceux qui ont besoin d’une musique relativement facile d’approche que ceux qui recherchent un raffinement ou un développement au-delà des évidences. Ne connaissant pas la longue discographie du groupe, je ne me prononcerai pas sur l’œuvre globale de ROLLERBALL
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, mais en connaissance de cause du label, la dernière partie de ce Two Feathers me donne envie de conclure quand même que si ROLLERBALL
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a contenu son naturel plutôt jazzy expérimental, il revient au galop sur les 3 dernières plages de l’album.
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