Chronique

ZEM
Freedom Machine

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MVS Records



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Mardi 26 avril 2011

5 ans après Heavy Durty Burdens, ZEM
ZEM
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revient avec son second disque (Freedom Machine). Derrière ce nom se cache Michael Zemour, également écrivain de 33 ans et auteur d’une autobiographie intitulée Dream Or Die.

Bienvenue dans un univers coloré et chargé d’émotions. Rempli de sensibilité, le rock de ZEM
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, s’il est bigarré n’en est pas pour autant une sucrerie écoeurante. On lui reprochera un chant relativement proche de celui de Brian Molko (PLACEBO), mais il est technique et maîtrisé.

Quand on fait un rock tiré à quatre épingles qui emprunte à une longue liste d’influences musicales, la production doit être irréprochable. Et à l’heure de la domination du digitale, il est agréable d’entendre une production qui sonne chaleureuse. Je ne sais pas comment ZEM
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a travaillé avec Frédéric Carrayol (déjà sur son premier album) et Geoff Pesche (dinosaure du studio Abbey Road), mais ils ont réussi à faire de Freedom Machine un disque organique sans perdre une miette des qualités sonores de notre époque.

On doit le graphisme de la pochette à Marie Meier qui a su retranscrire visuellement l’univers de celui qu’on pourrait comparer à MIKA, dans une version réellement rock et adulte.
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