Chronique

COMBOIO
Comboio

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igloo records

11 titres/ 52 minutes


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Lundi 26 août 2013

Navigant entre jazz, classique et musique du monde intensément influencée par l’Amérique latine, voire purement argentine.Il est évident que le quatuor Comboio
Comboio
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a été biberonné par Piazzolla. Flirtant en quasi-permanence entre tango argentin et choro brésilien, ce 11 titres est une musique de la moiteur de fin de soirée, de celle qui colle et qui plaque aux corps…

Purement instrumental et presque exclusivement acoustique, le projet comboio (le convoi en portugais) est né à l’initiative de Manu Comté (fondateur de Soledad
Soledad
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) et Boris Gasquere ou plutôt de la fusion de leur duo respectif. Ils sont donc rejoints dans cette aventure par Sam Gerstmans (contrebasse) et Renato Martins (percussions) avec en invité Jean- Paul Estiévenart venu déposé son souffle à la trompette ou au bugle.

Racé et avenant ce premier album est fortement marqué par le phrasé caractéristique de l’accordéon ce qui participe évidemment imprimer plus encore cette teinte toute argentine présente sur l’album.

Néanmoins, certains titres comme Via crucis se «détachent» quelque peu de l’ensemble, présentant un côté beaucoup plus aérien, presque introspectif et apaisant, dû essentiellement au souffle de J-P. Estiévenart présent sur ce titre.

Plein de caractère, ce premier album racé célèbre la mixité des musiques festives brésiliennes mêlée aux sonorités argentines beaucoup plus introspectives.
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