Reportage

Karma To Burn: c'est bon pour le moral mais pas pour les cervicales!

Leuven (JH Sojo), le 09-02-2013

Dimanche 10 février 2013



Hier soir les gars de Karma To Burn
Karma To Burn


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étaient une fois de plus de passage en Belgique. Cinq mois après les avoir rencontrés à Bruxelles au VK (interview à lire ici), voilà qu'ils étaient déjà de retour à Leuven dans un Sojo bourré massacre afin de nous assommer pour une xième fois avec leur stoner couillu de chez couillu! Au programme de la testostérone, de la bière et quelques nouveaux morceaux!


Même si la musique de Karma To Burn
Karma To Burn


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évolue à la vitesse à laquelle les vieux réac's changent d'opinion, c'est-à-dire pratiquement pas, elle a toujours le pouvoir, même après avoir vu le groupe à de nombreuses reprises, de vous transporter ou du moins de vous faire oublier tous les soucis causés par une semaine de travail. Introduits par Rozbub, des Suisses qui ont bouffé du Jimi Hendrix à la pelle étant petits, Karma To Burn
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nous aura montré une fois de plus que leur relation avec Orange Factory et le Sojo est plus que particulière.

Si Rich Mullins et William Mecum étaient déjà passés quelques fois sur la petite scène du Sojo, hier c'était la première fois qu'ils venaient y jouer avec Evan Devine derrière les fûts vu que lors de leur dernière venue dans la banlieue louvaniste, c'était encore Rob Oswald, leur généralissime batteur hirsute, qui occupait le poste à la batterie.

Alors que leurs dernières venues sur notre territoire étaient destinées à la promotion de V, leur dernier album sorti en 2011, hier les gars de Karma To Burn
Karma To Burn


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venaient dans le seul but de se faire et surtout de nous faire plaisir! Cependant, comme nous le confiait Rich Mullins avant le show, leurs valises étaient tout de même chargées d'une ou deux surprises qui figureront sur leur prochain opus.

Vers 21 heures, Rich, William et Evan prennent possession des planches. Sur le sol, pas besoin de set list, les gars tournent tellement que chaque concert n'est finalement qu'une répétition générale de plus. Mais attention, qui dit répétition ne dit pas mou du slip! Hier, vu la lourdeur du son proposé, les trois musiciens originaires de West Virginia étaient en forme!

La musique a beau être basique, lourde et répétitive, dans la salle, ce sont à chaque fois les mêmes sourires que l'on croise lors d'un concert de K2B! A peine les premiers riffs sont-ils commencés que les têtes s’agitent automatiquement pour ne s'arrêter qu'une heure et demie plus tard! Entre temps plus le show avance, plus les premiers rangs sont colonisés par les fans (dont nous faisons assurément partie). Les coudes et les bras ne suffisent alors plus à maîtriser les vagues provoquées par le public et celles-ci se terminent à plusieurs reprises sur les baffles de retour. A peine de quoi distraire les trois comparses sur la scène. Cependant, vu leur sourire, eux aussi ils prennent leur pied.

Le concert ne pouvait bien évidement pas se terminer sans "twenty" ("20"), ce morceau aux riffs dévastateurs sans cesse demandé par le public qui aura clôturé une soirée chargée en décibels!

Hier soir, c'était samedi soir et aujourd'hui, mes cervicales ont la fièvre du dimanche matin, celle qui suit la fièvre du samedi soir!
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