Reportage

Un 4 juillet irlandais !

Luxembourg (Den Atelier), le 04-07-2016

Mercredi 6 juillet 2016

En ce début des vacances d’été et jour de fête nationale américain, le célèbre et très rock Atelier de Luxembourg ville accueillait Flogging Molly
Flogging Molly


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dans ses murs. Ces Américains d’origine irlandaise connaissent désormais bien les lieux, en effet chaque été depuis 2014 ils y font une halte.
Groupe réputé pour ses concerts énergiques dû à ses membres et son style musical, c’est donc avec une salle qui affiche complet que la bande à Dave King va fêter le 4 juillet avec un air de Saint-Patrick.


Après une première partie renseignée sur internet dont, même en étant dehors je n’aurais rien vu ni entendu. Surtout ne sachant pas s’il y en a réellement eu une, c’est lorsque j’entends l’intro que je me précipite à l’intérieur.

Il est 21h10 lorsque les lumières s’éteignent et que l’Atelier, débordant de gens, se fait attentif. Flogging Molly
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débarque sur la petite scène luxembourgeoise qui semble maintenant minuscule avec les 7 membres du groupe dessus. Lorsque la bande-son se termine (No More) Paddy’s Lament donne le ton de la soirée. Le pogo commence, les mains applaudissent, les gens dansent et les bières volent?!



Le public, encore tassé au fond, lors du titre suivant — Another Bag Of Bricks — court vers la scène lorsque les premières notes de la célèbre Drunken Lullabies se font entendre. Dès cet instant c’est la folie complète dans l’Atelier et Dave King va en profiter pour jouer le nouveau titre du prochain album : The Hand Of John L. Sullivan. Album qui selon le groupe paraîtra en 2017.

Flogging Molly
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varie les albums tout au long du concert, et même si ces Américano-Irlandais ne sortent pas des sentiers battus avec des titres du placard, on ne s’en plaint pas. Les titres plus folk alternent bien avec ceux plus punk et après une petite dizaine de chansons c’est un trio acoustique qui vient bercer un public déjà bien en sueur. À la fin de cette pause, la machine se remet en route tambours battants avec le bien connu Black Friday Rules et le public se fait à nouveau entendre et ressentir.



Après près d’une heure quinze de concert, les hits se succèdent les un après les autres et les fans présents ne lâchent rien, au contraire!

«Devil’s Dance Floor» justement, c’est le cas de le dire vu la taille du pogo. Enchaîner avec Salty Dog ,le public offre ses dernières ressources. Float vient donner un peu d’air pour mieux relancer la danse sur The Seven Deadly Sins et What’s Left Of The Flag qui achèvent un peu plus d’une heure trente de concert.

Après de puissantes réclamations, Flogging Molly
Flogging Molly


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remonte sur les planches instruments en main pour 2 ultimes titres. Tobacco Island sera la dernière chanson à faire trembler le sol luxembourgeois ce soir, ensuite ça sera au tour de If I Ever Leave This World Alive qui fera chanter les gens en guise d’au revoir.

Les lumières se sont rallumées et c’est avec Always Look On The Bright Side Of life des Monty Python, repris par toute la salle, que Flogging Molly donne ses dernières ressources : des Guiness et des bouteilles d’eau à tout va. Seul Swagger ne se sera pas fait entendre, mais bon on aura eu tout le reste, il n’y a pas de quoi se plaindre.



Les Américains auront montré avec une grande sympathie dans ce dont ils étaient capables ce lundi soir à l’Atelier. Après 1h45 de show, toute la salle perle de sueur, mais sort de là avec un sourire jusqu’aux oreilles. Mais surtout, garde en tête un «See you next year !» lancé par le chanteur à la fin.

Un groupe qui devrait juste faire attention à éviter la redondance à force de venir souvent, mais qui aura toujours ses fans avec lui vu la qualité des concerts proposée!

Cheers!


photos : merci à Elodie Haas et Yannis Capitani de Stay Tuned Interviews
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AUTEUR : Clément
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extr...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable d'écouter et partager la musique selon lui. ...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable d'écouter et partager la musique selon lui. ...

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