Chronique

LIARS
Stumm 287

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Mute Records



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Dimanche 11 novembre 2007

Après un album concept qui tournait autour d’une histoire de batterie (Drum’s Not Dead), LIARS
LIARS


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quitte les expérimentations pour revenir à un album plus musicalement accessible.

C’est avec PlasterCasts Of Everything que le groupe entame l’album et force le passage. Si le reste de l’album est plus lent, il n’en reste pas moins hypnotique comme ce titre d’ouverture entêtant et frénétique.

Évidemment, LIARS
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n’a pas complètement lâché ses délires sonores. Plutôt décalé, le groupe en a fait quand même sa marque de fabrique où le paroxysme avait été atteint avec la précédente plaque. Cette folie engendre un sentiment étrange à l’écoute du groupe. Une sorte de génie intriguant et pas toujours rassurant.

Stumm 287 s’impose comme le maillon entre l’abstrait Drum’s Not Dead et la musique que l’on connaissait du LIARS
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d’avant. Le dosage entre rock et expérimentation ici présent n’est pas sans rappeler la vague New-Yorkaise appelée No Wave des années 80. Le spectre d’un THE VELVET UNDERGROUND rôde également sur plusieurs titres de l’album (What Would They Know, Pure Unevil). Stumm 287 est l’album aux sons et sonorités le plus abouti et surtout le plus mature du groupe.
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