Chronique

THE BAD LUCK CHARMS
Bad Luck Charms

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I Scream Records



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Mardi 3 juin 2008

C’est évident, le Glam Punk revient en force et I Scream Records qui sait flairer les bons coups est déjà sur la brèche. D’abord avec THE BAD LUCK CHARMS
THE BAD LUCK CHARMS
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et ensuite avec ENEMY ROSE
ENEMY ROSE
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.

Emmené jusqu’au bout par Kerry Martinez (guitariste de U.S. BOMBS
U.S. BOMBS


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), le groupe de Brooklyn nous livre son premier album. Il a composé tous les titres et a partagé la production avec Darian Rundall (PENNYWISE
PENNYWISE


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, U.S. BOMBS
U.S. BOMBS


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, SUICIDAL TENDENCIES
SUICIDAL TENDENCIES


Clique pour voir la fiche du groupe
) et en termes de travail derrière la console, Kerry Martinez a aussi de la bouteille puisqu’il a déjà œuvré pour Wayne Kramer (MC5
MC5


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) ou Lars Fredericksen (RANCID
RANCID


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). Avec un tel palmarès, on comprend très vite que le personnage est élevé au rock’n’roll.

C’est d’ailleurs dans cette voie que se lance THE BAD LUCK CHARMS
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. Ressuscitant des influences allant de HANOI ROCK ou NEW YORK DOLLS
NEW YORK DOLLS


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à THE ROLLING STONES
THE ROLLING STONES


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, le groupe délivre un album énergique mais peu criard. Une petite escapade chez THE CLASH
THE CLASH
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(I Didn’t Mean To Kill You) rappelle le bagage Punk du sieur. Le style majeur se veut malgré tout américain et pré-77 où le rock énervé se conjuguait encore en roll. C’est-à-dire à coups de refrains accrocheurs et de solos débordants. Le tout suinte évidemment la crasse du New York de l’époque, ce qui confère une impression vieillotte à ce disque. Il s’agit du premier point faible de l’album. Ce côté rétro qui, malheureusement au-delà des compositions fortes et ficelées, ne permet pas de coller l’album dans un revival complètement réussi.

Bad Luck Charms renferme un deuxième point faible. Une trop grande linéarité dans ses compositions. Bien que l’un ou l’autre titre sorte du lot (Break My Heart, Happily Ever, Tokyo ou I Didn’t Mean To Kill You), sur la longueur THE BAD LUCK CHARMS
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n’arrive pas à extasier pleinement l’auditeur.

Pour un premier effort et dans un style à la fois surprenant et logique de la part de Kerry Martinez, on peut dire que THE BAD LUCK CHARMS
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s’en sort pas trop mal. L’album est bien foutu. Ses compositions sont plus qu’honnêtes. Mais il reste encore du chemin à parcourir pour transformer THE BAD LUCK CHARMS
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en fer de lance du revival Glam Punk ou en incontournable d’une discographie punk.
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