Chronique

THE ADICTS
Life Goes On

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People Like You Records



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Lundi 31 août 2009

Chers brattis, ooooh que voilà une bonne nouvelle : THE ADICTS
THE ADICTS


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sont de retour avec un nouveau disque. Et THE ADICTS
THE ADICTS


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sont en forme pour tout dire. Les titres sont taillés pour qu’on puisse se bidonsker jusqu’à ce que le brouko soit douloureux ! Déjà rien que l’enchaînement Spank Me Baby, I Love You But Don’t Come Near Me et Reaky Deaky Boys And Girls nous met à genoux. Bien évidemment le reste de l’album est du même niveau. Que Monkey et sa bande fassent les popovs ou que les guitares soient acérées comme des britvas, les molodoï vont déambuler dans les rues le sourire large et le glaze vicieux en se slouchant ces airs piquants.

Avec une telle bande son, on a envie de rassembler sa banda et de provoquer de biens belles bitvas et dratses juste pour l’amusement, pour le désordre que ça peut mettre dans les rues ou chez les bugatti, poches remplies de lollypops. Aah si un tel disque pouvait être diffusé dans les stéréos, que de choum on pourrait faire ! Que de critches on pourrait entendre dans les chaumières… Le matin, on aurait mal aux gullivers d’avoir trop drinké mais on remettrait ça le lendemain, et puis le lendemain d’après, et celui d’encore après… Et puis certaines nuits, on pourrait toltchocker quelques milichiens croisés.

Pour sûr THE ADICTS
THE ADICTS


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ça s’écoute comme on boit le moloko. Leur désinvolture donne envie de ressortir les masquards. Sauf qu’on n’est plus des nadsats ou des maltchicks… que maintenant, les drougs, y a une tchina sous le toit et des touflasques qui attendent devant le fauteuil. Si seulement les vecks de THE ADICTS
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n’avaient pas fait de pause, peut-être qu’au jour d’aujourd’hui on aurait encore le schlapa sur la tête et une jiznée qu’Anthony Burgess aurait pu raconter.

Soit qu’il en soit ainsi, au moins on peut encore se sloucher de la bonne zique, parce que vous m’excuserez l’expression mais Life Goes On vous donne quand même une schlaga du tonnerre comme si vous étiez en face d’une dévotchka magnifique prête à un dedans-dehors mémorable.
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