Chronique

NEKO
One Hit Wonder

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Autoproduction



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Jeudi 7 janvier 2010

Après une première démo en 2003 (Explicit Lyrics) et un EP (Ghost Tracks) en 2005, NEKO
NEKO


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revient paisiblement. Entre-temps, le groupe s’est adonné longuement à la scène et à la composition d’une B.O. pour le film Les Somnambules de Antoine Capliez.

Le trio lillois a progressivement délaissé son post-rock pour se trouver une consonance plus rock et noise. On y retrouve pourtant une série d’effets de style même si il est vrai que la structure des morceaux se rapproche maintenant plus d’une douce noise influencée par les années 90’s.

La grande force de NEKO
NEKO


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réside dans cette faculté à composer des titres aux allures assez simples. Beaux et qui s’annoncent accessibles sans pour autant paraître extraordinaires. Toutefois cette convenance apparente vient toucher au plus profond l’auditeur qui sans s’en rendre compte s’émeut progressivement et se laisse submerger par les ambiances des Français. Dès lors nous sommes pris dans la toile sonore du groupe et il est difficile de s’en détacher.

D’allures donc classiques et d’apparences sympathiques et conventionnelles, One Hit Wonder (un titre de EP là aussi bien plus subtil qu’il en a l’air) se révèle être une perle quasi parfaite dans son évidente simplicité qu’on admire à tous moments pour sa pureté.
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