Chronique

BURNING HEADS
Spread The Fire

image
Opposite Productions



image
Dimanche 14 mars 2010

Doit-on vraiment encore présenter les Français de BURNING HEADS
BURNING HEADS


Clique pour voir la fiche du groupe
? Quand il s’agit d’aborder la longévité du groupe, il est évident que non. Le groupe depuis ses débuts, il y a une vingtaine d’années, a conservé cette même rage Punk et Hard Core Mélodique qui a consolidé sa réputation scénique. Seuls deux disques orientés reggae sont venus tardivement dans la carrière adoucir les mœurs du groupe. Une envie et un attachement musical que BURNING HEADS
BURNING HEADS


Clique pour voir la fiche du groupe
avait jusque là laissé au placard pour ne pas embrouiller les esprits.

Un an donc après le deuxième volume reggae, BURNING HEADS
BURNING HEADS


Clique pour voir la fiche du groupe
retournent aux sources : un Punk-rock qui trace son chemin. Sans se retourner, sans se poser trop de questions. Un deux trois et la machine est lancée. Elle ne s’arrête qu’au bout de 15 titres de plus ou moins deux minutes chacun. Que ce soit dans le vif du sujet, pied au plancher ou en calmant quelque peu le jeu avec ses tubes mid-tempo, BURNING HEADS
BURNING HEADS


Clique pour voir la fiche du groupe
ne pratique pas la langue de bois. Le discours a le mérite de sa clarté. L’expérience est aussi au service du groupe qui s’il ne change pas sa ligne de conduite, maîtrise son sujet. C’est qu’en 20 ans de carrière, le groupe en a foulé des scènes dans le milieu. En 10 albums, le groupe en a côtoyé des circuits de l’industrie du disque, de l’indépendant de renom (Epitaph, PIAS) à la Major (Sony) en passant aujourd’hui par une version DIY avec son propre label Opposite Productions.

Dès lors sans surprise, et surtout pas des mauvaises, BURNING HEADS
BURNING HEADS


Clique pour voir la fiche du groupe
suit son chemin. Plutôt là où on l’attendait, BURNING HEADS
BURNING HEADS


Clique pour voir la fiche du groupe
qui n’a jamais ni caché, ni renié ses attachements musicaux reste sur la même voie. Aucun signe de faiblesse. Pas même lorsqu’il s’adonne à la reprise avec Friday On My Mind de EASYBEATS.
TU AS AIME ? PARTAGE !
Google +
Twitter
Facebook
Whatsapp
E-mail
E-mail
Google +
Twitter
Facebook

► COMMENTAIRES

Tu dois être connecté pour pouvoir commenter !

Soit en deux clics via Facebook :

image

Soit via l'inscription classique (mais efficace) :

image

► A VOIR ENSUITE