Chronique

CANNABIS CORPSE
Beneath Grow Lights Thou Shalt Rise

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Tankcrimes

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Mercredi 10 août 2011

Les bourgeons des plantes toxiques de Richmond/Virginia viennent d’éclore pour la troisième fois. La cueillette est ouverte et s’annonce plutôt bonne. C'est les fans de death metal à la façon "Tampa Bay area" qui vont être ravis.

Petit flashback, créé en 2006, Cannabis Corpse
Cannabis Corpse


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est le side project de LandPhil, bassiste de Municipal Waste
Municipal Waste


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.
On comprend dès lors pourquoi ce death metal est à prendre au second degré et semble parodier les premiers essais de la bande à Chris Barnes (premier chanteur de Cannibal Corpse
Cannibal Corpse


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).
Les déchets municipaux les plus connus de la scène trash crossover étant un groupe drôle et assez parodique.

Mais au-delà du pétard mouillé et de l’effet de surprise que provoqua la sortie du premier opus, Beneath Grow Lights Thou Shalt Rise, c’est plutôt de la bonne, dans le genre culture artisanale de premier choix.

En témoigne les excellents Dead By Bong ou Immortal Pipes avec leurs riffs nocifs et leurs mélodies psychotropes. Mais aussi Where the Kind Lives ou Slave to the Chron, pour leur petit côté death tech et leurs cavalcades trashy.

En apercevant leur nom sur l’affiche du Metal Assault Festival de cet été, ce groupe m’avait fait l’effet d’un mauvais jeu de mots. Mais à l’autopsie Cannabis Corpse
Cannabis Corpse


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va au-delà du calambour grâce à une production léchée et variée et un mixage signé Erik Rutan, ex-Morbid Angel
Morbid Angel


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, actif dans Hate Eternal
Hate Eternal


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AUTEUR : Marc
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger ve...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion ...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse c...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse claque dans son apprentissage et le début d’un intérêt, d’une certaine fierté,...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse claque dans son apprentissage et le début d’un intérêt, d’une certaine fierté, pour nos artistes du cru. Après l'obtention de son diplôme en information et de communication, il intègre en 200...

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