Chronique

MICAH GAUGH TRIO
The Blue Fairy Mermaid Princess

image
AfricanTape

Sorti le 04-03-2013


image
Vendredi 22 mars 2013

MICAH GAUGH TRIO
MICAH GAUGH TRIO


Clique pour voir la fiche du groupe
, c'est Micah Gaugh au chant, au piano et au saxophone, Kevin Shea (HEY!TONAL
HEY!TONAL
Clique pour voir la fiche du groupe
, TALIBAM) à la batterie et Daniel Bodwell à la contrebasse. A ce sade là de la chronique, vous avez déjà compris que l'on va parler Jazz. Libre qui plus est... puisque l'improvisation est le moteur des compositions de Micah Gaugh.

Les trois nommés ici possèdent déjà un parcours impressionnant en matière d'art musical. Chacun allant dans sa direction tout en croisant le chemin respectif des autres et celui d'autres artistes ou milieux musicals différents. D'ailleurs les compositions originales remontent à 1994.

Et même si tout le monde semble crier au génie, je m'ennuie à l'écoute de ce Jazz élitiste qui manque de groove et de swing. L'enregistrement live a beau donner cette impression triste de bas-fond digne d'un vieux polar déjanté, l'univers du trio me laisse trop indifférent. Sans compter que certains titres n'ont pas l'air d'être complètement terminés (Oh When My Lady Comes, Girl)

Seul Fly parvient à susciter un début d'intérêt à mes oreilles. Plus habillé, ce titre résonne et possède plus de musicalité que ses précédents. Certains le trouveront plus accessible. Il est en effet plus humain et sensible.

Mood Vertigo et l'omniprésence du piano clôturent l'album sur une note plus gracieuse de rythme, mais MICAH GAUGH TRIO
MICAH GAUGH TRIO


Clique pour voir la fiche du groupe
se fait vite rattraper par ses déstructurations.

Il a beau avoir des airs de Eugène Robinson sur la pochette, Micah Gaugh ne m'aura pas emmené dans son univers hermétique même si peu débridé pourtant. Malgré cet imperméabilité personnel au genre de MICAH GAUGH TRIO
MICAH GAUGH TRIO


Clique pour voir la fiche du groupe
, The Blue Fairy Mermaid Princess ne semble pas être un album fini où l'aboutissement d'un travail et d'une réflexion supporte la raison d'être du disque. Bien que issu de 14 heures d'enregistrement condensé en 12 plages, il résonne comme des chutes de bandes retrouvées pour un album posthume et n'engage dès lors que le convaincu.
TU AS AIME ? PARTAGE !
Google +
Twitter
Facebook
Whatsapp
E-mail
E-mail
Google +
Twitter
Facebook

► COMMENTAIRES

Tu dois être connecté pour pouvoir commenter !

Soit en deux clics via Facebook :

image

Soit via l'inscription classique (mais efficace) :

image

► A VOIR ENSUITE