Chronique

AUTOPSY
Tourniquets, hacksaws and graves

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Peaceville Records

12 titres - 49 minutes
Sorti le 21-04-2014


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Vendredi 23 mai 2014

Dans la famille reformations de groupes Death mythiques, je demande Autopsy
Autopsy


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. Prolifiques, les californiens sortent du nouveau matériel tous les ans depuis 2010 en gardant un certain schéma : Peaceville , production Adam Munoz (Fantasy Studio, Berkeley). Le risque ? S’enliser dans une certaine paresse. Est-ce le cas ? Non.

The Headless Ritual avait en effet pu décevoir, en raison de quelques chansons pas assez accrocheuses sur la durée, notamment de par quelques influences doom trop prononcées.
Tourniquets, hacksaws and graves, lui, remplit mieux son contrat : combinant à la fois un Autopsy
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rapide et ombrageux (Savagery en ouverture, l’excellent After the cuttings) et un Autopsy
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fidèle à ses origines (The howling dead et son côté rampant, ou le très heavy Burial ), l’album est varié et s’écoute avec plaisir.

Certes, Autopsy
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ne réinvente rien, mais cette harmonie entre les riffs, les soli et la voix de l’ami Reifert (Forever Hungry, Parasitic Eye) fait des ravages. Le son est au diapason, alliant ce qu’il faut de puissance et de crasse pour faire sonner Autopsy
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de cette manière si unique. Evidemment, cette ambiance si spéciale, digne des films d’horreur, s’installe rapidement à l’écoute de l’album, avec des morceaux comme Dead Crimson Dreaming. Ou la bande son de vos pires cauchemars. Un des meilleurs titres de l’album, The Howling Dead, est une bonne représentation de cet effet de style et à écouter en premier pour se rendre compte de la forme que tient le groupe.

Autopsy
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signe un album gras, un album lourd, mais un album inspiré. Sans forcément réinventer son style, le groupe évite le phénomène de lassitude qui a entaché sa précédente production, et s’offre un joli passeport pour la suite en forme d’un album bien dégueu mais qui coule tout seul au fond de la gorge.


Tags : Reifert, death, peaceville
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