Chronique

THE GREAT SABATINI
Dog Years

image
Solar Flare Records

Sorti le 02-06-2014


image
Mercredi 2 juillet 2014

Voici encore une très belle sortie éditée par le très remuant label hexagonal Solar Flare Records . Après le nouvel album de Sofy Major
Sofy Major


Clique pour voir la fiche du groupe
, le EP de Pigs
Pigs


Clique pour voir la fiche du groupe
ou la nouvelle galette de Watertank
Watertank


Clique pour voir la fiche du groupe
et de Stuntman
Stuntman


Clique pour voir la fiche du groupe
, c'est au tour des canadiens de The Great Sabatini
The Great Sabatini


Clique pour voir la fiche du groupe
d'être sur le starting block.

Dog Years, c'est son nom, n'est pas seulement le troisième album (ici en version vinyl colorée black ou transparent red) du quatuor de Montréal, il est aussi une véritable boule à facette musicale. À la base intéressé par la noise, le grind et le rock 70's, The Great Sabatini
The Great Sabatini


Clique pour voir la fiche du groupe
n'est pas assis dans un genre bien défini.

D'abord doom et assez sludge via son titre inaugural "The Royal We", Dog Years évolue vers des contrées plus punk-hardcore, "Guest Of Honor" et "Nursing Home", avant de bifurquer vers du noise rappelant Unsane
Unsane


Clique pour voir la fiche du groupe
voire The Melvins
The Melvins


Clique pour voir la fiche du groupe
, "Munera" ou "Pitchfork Pete", mais avec une voix hurlée bien musclée et un côté plus doom dans le tempo. Citons également le titre de clôture "During Watime" qui ravira les fans de Today is The Day
Today is The Day


Clique pour voir la fiche du groupe
.

C'est à Sean Pearson (Cursed, Shallow North Dakota) que l'on doit l'enregistrement, le mixage et le mastering de cette plaque rafréchissante et très nuancée. Le but avoué par le groupe étant de créer un ensemble hi fi imprégné de toute leur sensibilité lo fi, avec le grain et l'atmosphère de la performance live. On peut dire que cet objectif est atteind dans cet album ludique, immédiat et inspiré, qui ne se laisse pas appréhender dès la première écoute. C'est clair, la boule à facette musicale ne se digère pas d'un coup.

Enfin soulignons, la participation de l'artiste Wurmzilla qui apporte à cette sortie une petite touche "Muppet's show" via ce artwork très red devils.
TU AS AIME ? PARTAGE !
Google +
Twitter
Facebook
Whatsapp
E-mail
E-mail
Google +
Twitter
Facebook
AUTEUR : Marc
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger ve...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion ...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse c...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse claque dans son apprentissage et le début d’un intérêt, d’une certaine fierté,...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse claque dans son apprentissage et le début d’un intérêt, d’une certaine fierté, pour nos artistes du cru. Après l'obtention de son diplôme en information et de communication, il intègre en 200...

► COMMENTAIRES

Tu dois être connecté pour pouvoir commenter !

Soit en deux clics via Facebook :

image

Soit via l'inscription classique (mais efficace) :

image

► A VOIR ENSUITE