Chronique

NEOPERA
Destined Ways

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earMusic

Sorti le 01-09-2014


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Dimanche 5 octobre 2014

Créé en 2010 à Hambourg, Neopera
Neopera
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nous offre, avec la sortie de son premier album, un savant mélange de metal et de musique classique. Entre émotions, agressivité et tendresse, l'univers du combo allemand nous emmène en plein dans le metal symphonique. En s'inspirant tant de Paganini, pour le classique, que de Judas Priest
Judas Priest


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, Nightwish
Nightwish


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ou encore Yngwie Malmsteen
Yngwie Malmsteen


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pour le metal, le guitariste et leader de la formation, Jörn Schubert, parvient a livrer un album pour le moins équilibré, ce qui n'est pas toujours chose simple dans le genre auquel il s'attaque.

Pouvant compter sur la justesse de Dirk Schlächter à la basse, connu pour faire partie de Gamma Ray
Gamma Ray


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, le combo teuton dispose là d'une ligne rythmique stable et solide à toute épreuve sur laquelle peuvent s'appuyer tant le chant que le jeu de guitare. Mais là où se situe l'originalité de Destined Ways, c'est bien dans l'équilibre quasi parfait qui existe entre les voix de la soprano Nina Jiers et du baryton Thorsten Schuck avec les growls de Mirko Gluschke. Alors que sur de nombreux disques du style, l'une ou l'autre forme de chant prendrait trop d'importance par rapport à l'autre, ici la marque de fabrique se situe sans aucun doute dans la complémentarité.

Disposant de morceaux épiques tel que par exemple le très doux "Falling Water" qui pourrait sans aucun problème figurer sur la B.O. d'un film, cette première plaquette offre également une sacrée dose d'adrénaline. "The Greed", par exemple, attaque l'auditeur avec une rythmique saccadée venue en droite ligne du power metal et nous donne une impression de longue cavalcade.

Le jeu de guitare, quant à lui, se marie parfaitement avec les apports plus classiques présents sur le disque, comme on peut notamment le constater sur "Error", un titre de plus de six minutes mélangeant tant un style à la Malmsteen qu'une structure plus proche de celle développée par un Nightwish
Nightwish


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de la belle époque.

En résumé, bien que l'album puisse parfois paraître un peu long, comme lors de l'intro de "Last Pantomine" qui fait plus penser à du Walt Disney qu'à du metal symphonique, Neopera
Neopera
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nous livre un album qui ravira les fans de metal symphonique, mais qui éveillera certainement la curiosité des autres.
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