Chronique

IMMOLATION
Atonement

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Nuclear Blast

11 titres - 44 minutes
Sorti le 24-02-2017


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Samedi 13 mai 2017

Intouchable institution du Death Metal US, Immolation
Immolation


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a livré avec des albums comme Dawn of Possession, Here In After ou Failures For Gods de véritables classiques du genre. Un style et une personnalité affirmés dès les débuts du groupe, conservés par la suite, quitte à les diluer un peu, sans que l'on puisse se plaindre non plus ni du rendement, ni de la qualité des sorties d'Immolation ces années durant. Atonement, lui, nous voit même Immolation
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revenir en très grande forme.

Un retour symbolisé aussi par la réapparition du logo old-school, bien visible sur la pochette dessinée par ce cher Pär Olofsson, même s’il s’agira là d’un détail pour certains. Pas tant que cela en fait, le duo Robert Vigna / Ross Dolan semblant avoir eu à cœur de garder l’essence du style Immolation
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tout en proposant un contenu suffisamment riche pour susciter l’intérêt, voire surprendre encore.

On retrouve en fait les principales caractéristiques chères à Immolation
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, comme ces ambiances sombres, lourdes, oppressantes, qui donnent cette vibe, cette saveur si particulière au son Immolation
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. Barbare, brutale, punitive, la musique d’Immolation
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, sorte de Death atmosphérique, reste bien entendu soutenue par le chant aussi démoniaque que profond de l’inimitable Ross Dolan, identité gutturale du groupe.

Mais surtout, et c'est en cela que les New-Yorkais arrivent encore à nous surprendre, le travail accompli sur les arrangements sidère. Robert Vigna, à la guitare, excelle de qualités : entre lourdeur, mélodie et dissonance, on l’imagine sans peine oeuvrant comme un damné sur son instrument, à force de gestes démonstratifs comme il en a si bien l’habitude. Le reste du groupe, au diapason, n'en ressort que plus uni.

Droit dans ses bottes old-school mais résolument moderne, texturé à l’extrême et bourré d’idées de riffs, Atonement se paye en plus le luxe d’une bien meilleure production que son prédécesseur, Majesty and Decay. Réussir à conserver une telle richesse et une telle personnalité après une si longue carrière tout en écrivant un album de cette qualité force le respect. Amen.



Tags : Death, New Yord, old school
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