Chronique

NORTHLANE
Mesmer

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UNFD Records

11 titres - 43min
Sorti le 24-03-2017


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Mardi 4 avril 2017

Ils ont émergé depuis leur second album : Singularity, en 2013. Ils ont aussi changé de chanteur suite au départ d’Adrian en 2014. Après quelques auditions ils trouvèrent Marcus, son remplaçant.

Il y a 2 ans, Node avait posé les bases variées du Northlane
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bien établi que nous connaissons. C’est désormais dans cette continuité que les Australiens nous sortent Mesmer. Du même nom que le physicien, alors voyons s’il explore tant la physique musicale que ça.

Depuis leur nouveau chanteur, la part de chant clair avait augmenté, de même qu’une part plus technique ou complexe voir très technique-djent. On sent des influences très complexes/variées/travaillées dans les riffs et lignes de basse.

Du côté des instruments, on prend vraiment un bon plaisir à écouter la magie de Mes(s)mer. On est dans un djent bien construit, même les samples ne dégoûtent pas et viennent parfaire l’ambiance aérienne.

Northlane
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n’est pas non plus tombé dans une exubérance metalcore à mettre trop de breakdowns ou bien un rythme constamment soutenu. En résulte des titres bien équilibrés comme Zero-one ou bien Colourwave pour ne citer qu’eux, où clairement il n’y a quasi rien à redire.

Mais ce rythme soulagé est dû aux nombreux passages en voix claire. Celle dernière n’est pas du tout fausse, mais elle se retrouve parfois mal placée sur des instrumentales qui ne collent pas toujours. On sent à certains moments qu’on a mis du chant clair pour adoucir, voire meubler. Alors évidemment ça passe moins bien, alors que d’autres passages collent bien aux ambiances. Un peu comme sur Heartmachine ou Intuition par exemple.

Une fausse note qui vient un peu gâcher un super album. Les Australiens ont réussi à changer leur fusil d’épaule tout en tenant en équilibre. Voir même expertiser leurs compétences, chose qui se ressent quand même quand on écoute les différents opus.

On obtient donc un style assez uni qui est cohérent. Moins réussi que le split Equinox fait avec In Heart Wake. Northlane
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on quand même des bonnes fondations stables pour développer leur aventure musicale.

Au final, on tient un disque qui offre une bonne puissance et capacité au groupe. Même s’il contient quelques fausses notes, Northlane
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s’offre un bon niveau sur 90% d’un CD bien éclectique et de découvertes comme le physicien du même nom que l'album.






Tags : djent - metal - Australia
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AUTEUR : Clément
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extr...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable d'écouter et partager la musique selon lui. ...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable d'écouter et partager la musique selon lui. ...

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