Chronique

SPOOK THE HORSES
Empty Body

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Pelagic Records

Sorti le 28-08-2020


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Lundi 7 septembre 2020

Après le calme, vient la tempête. Voilà un adage qui pourrait s’appliquer aux Néo-Zélandais de SPOOK THE HORSES
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. Les fans conjoints de BREACH
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et de CULT OF LUNA
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seront ravis d’apprendre que le nouvel album du sextet, Empty Body prend une toute autre direction que son prédécesseur, People Used To Live Here.

Alors que ce dernier sublimait des tessitures calmes, le cru 2020 explose d’énergie. Après un premier album, Brighter en 2011 qui tapait largement dans le Post-rock et ses envolées crescendo, SPOOK THE HORSES
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découvrit les joies des ambiances plus lourdes avec Rainmaker en 2015. People Used To Live a fait la jonction tout naturellement.



Après son troisième album, la formation originaire de Wellington sentait bien qu’il lui fallait apporter une orientation nouvelle à sa musique. Comme si elle avait fait le tour de cette évolution et qu’un cap était franchi.

Les premières démos de Self Destroyer qui ouvre ce quatrième album ont d’ailleurs été enregistrées à l’époque de People Used To Live traduisant ce besoin d’une écriture plus sauvage.

Bien sûr, SPOOK THE HORSES
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ne se débarrasse pas complètement de certaines ambiances plus travaillées. Mais à l’exception de Apology Rot, le groupe Néo-Zélandais a plutôt tendance à se faire concis.

De fait, Empty Body tranche dans le lard et de sa brutalité fleurit cette petite nostalgie générationnelle. Sans aller dans un tout chaotique, SPOOK THE HORSES
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préserve une forme d’urgence et favorise une lecture assez immédiate de son album. Bref on s’y plonge facilement et presque sa prise de tête.
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