Chronique

DOWN TO NOTHING
Life On The James

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Revelation Records

12 titres
Sorti le 09-09-2013


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Dimanche 5 janvier 2014

Les straight-edge de Down To Nothing
Down To Nothing


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étaient visiblement impatients de nous sortir cette nouvelle galette puisqu'ils ont préféré la précéder d'un EP trois titres deux mois auparavant. C'était histoire aussi de nous mettre l'eau à la bouche et de rappeler que même si les membres sont toujours très occupés avec leurs groupes principaux (le chanteur David Wood est le bassiste de Terror
Terror


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et le bassiste Jared Carman occupe le même poste dans Trapped Under Ice
Trapped Under Ice


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), Down To Nothing
Down To Nothing


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est toujours là, prêt à nous en mettre plein les oreilles.

Et c'est ce que fait le combo originaire de Virginie (sur la côte est, au sud de Washington) dès la première piste When I Rest I Rust. Un hardcore sans fioriture : juste une rythmique percutante, des riffs simples mais efficaces, et une voix criée qui appelle à se joindre à elle en live pour des sing-alongs brûlants. Sur le morceau-titre Life On The James, l'influence punk se montre plus marquée, caractérisée par la voix chantée mélodique qui s'ajoute à celle que David Wood nous envoie depuis 5 minutes maintenant.

Si ce morceau sonne déjà comme un hymne ce n'est qu'à partir du quatrième morceau, Sheffield, que la sauce prend complètement. De légères parties chantées disséminées çà et là qui viennent rappeler que le hardcore est à la base un adjectif inséparable de punk... No Leash suit le même schéma, avec un rythmique imparable et un refrain qui rappelle même les tout vieux Kickback
Kickback


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. Un hardcore qui vient des tripes et qui ne perd pas son temps à se demander s'il doit être positif, négatif, politique ou revendicateur...

Cet album passe comme du petit lait et s'il est souvent considéré comme un side-project constamment mis de côté, le groupe devient en cette fin 2013 au moins aussi intéressant que ses grands frères.


Tags : hardcore terror trapped under ice
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AUTEUR : Erik
Rescapé de la scène hardcore underground de la fin des années 90, Erik a lancé Shoot Me Again en 2004 avec Julien, un autre gamin hyperactif de l'...
Rescapé de la scène hardcore underground de la fin des années 90, Erik a lancé Shoot Me Again en 2004 avec Julien, un autre gamin hyperactif de l'époque. Ecumant à eux deux les salles les plus improbables lors du lancement de ce webzine, ils se sont rapidement entourés d'autres camarades de jeu pour renforcer l'équipe. Aujourd'hui concentrÃ...
Rescapé de la scène hardcore underground de la fin des années 90, Erik a lancé Shoot Me Again en 2004 avec Julien, un autre gamin hyperactif de l'époque. Ecumant à eux deux les salles les plus improbables lors du lancement de ce webzine, ils se sont rapidement entourés d'autres camarades de jeu pour renforcer l'équipe. Aujourd'hui concentré sur le développement du site, il est moins présent sur le front. ...
Rescapé de la scène hardcore underground de la fin des années 90, Erik a lancé Shoot Me Again en 2004 avec Julien, un autre gamin hyperactif de l'époque. Ecumant à eux deux les salles les plus improbables lors du lancement de ce webzine, ils se sont rapidement entourés d'autres camarades de jeu pour renforcer l'équipe. Aujourd'hui concentré sur le développement du site, il est moins présent sur le front. ...
Rescapé de la scène hardcore underground de la fin des années 90, Erik a lancé Shoot Me Again en 2004 avec Julien, un autre gamin hyperactif de l'époque. Ecumant à eux deux les salles les plus improbables lors du lancement de ce webzine, ils se sont rapidement entourés d'autres camarades de jeu pour renforcer l'équipe. Aujourd'hui concentré sur le développement du site, il est moins présent sur le front. ...

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