Chronique

HEADCHARGER
The End Starts Here

image
XIII Bis Records



image
Jeudi 4 février 2010

Pour son troisième album, HEADCHARGER
HEADCHARGER


Clique pour voir la fiche du groupe
n’a plus fait appel à Serge Moratel pour l’enregistrement, par contre le groupe Caennais a bien continué à solliciter Alan Douches pour le mastering.

Oscillant toujours dans le rayon poids lourd entre sa facette Stoner et Rock’n’Roll bien grassouillet et rythmes plus carrés où le gros Metal explose, HEADCHARGER
HEADCHARGER


Clique pour voir la fiche du groupe
se paye une petite tranche américaine. Le chant se découvre une clarté plutôt efficace. Du coup, on apprécie plus particulièrement les titres où le groupe se la joue plus posé et plus traînant, façon Desert Song. L’harmonica est même invité.

Soli seventies, guitares heavy, grognements et mélodies sont au rendez-vous des 14 titres. Par moments, la dualité Stoner et grosse voix bien agressive, heurte un peu la sensibilité et l’auditeur aura besoin de s’accoutumer. Cette concomitance n’est pas sans rappeler celle de DOWN
DOWN


Clique pour voir la fiche du groupe
.

Initialement, un soupçon de doute nous envahit en lisant le tracklisting qui semble ambitieux. Et finalement au fil des écoutes, The End Starts Here se fait cohérent et efficace sur la distance. Les disparités perçues au début deviennent des atouts pour la longueur de l’album.

HEADCHARGER
HEADCHARGER


Clique pour voir la fiche du groupe
a sorti son disque le plus abouti. Il nécessitera un peu d’apprivoisement pour s’apprécier globalement à sa hauteur, mais il recèle suffisamment de titres directement accrocheurs pour motiver l’auditeur à s’y plonger plus en profondeur.
TU AS AIME ? PARTAGE !
Google +
Twitter
Facebook
Whatsapp
E-mail
E-mail
Google +
Twitter
Facebook

► COMMENTAIRES

Tu dois être connecté pour pouvoir commenter !

Soit en deux clics via Facebook :

image

Soit via l'inscription classique (mais efficace) :

image

► A VOIR ENSUITE