Chronique

SONS OF DISASTER
S/T

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Autoproduction



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Vendredi 28 octobre 2011

Le Rock'n'Roll n'a pas besoin de poseurs ! C'est pour cette raison que SONS OF DISASTER
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nous chante Drink, Fight, Rock And Fuck ! Un titre qui résonne encore dans les nuits bruxelloises, les lendemains de gueules de bois et de contusions.

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monte au créneau. Mélangeant Punk et Rock'n'Roll, SONS OF DISASTER
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, tout droit sorti de l'enfer bruxellois, va laisser sur le carreau un paquet de groupes à guitares qui a vendu son âme pour le paradis.

Pied au plancher, Whorehouse Queen accroche l'auditeur et le traine durant 3 minutes et 46 secondes sur l'asphalte brulante sans ménagement sourire au coin des lèvres. Dark Angel offre une rédemption, sous forme de leçon, à ceux qui se sont écartés du droit chemin et qui veulent rentrer dans les rangs.

Avec Drink, Fight, Rock And Fuck, la messe est dite. Si tu n'as toujours pas compris à ce stade, tu es définitivement perdu. SONS OF DISASTER
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prend le temps de nous expliquer pourtant. Hymne en puissance, TURBONEGRO
TURBONEGRO


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-esque, il te faudra passer la seconde ou tu contempleras les semelles du groupe qui s'éloignent avant la fin.

Rock'n'Roll, on t'a dit ! Oublie le reste. Fais toi mal, fais toi plaisir. Tu n'as que trois titres à apprendre, après tu pourras commander ta bière. Sors de ta chambre !
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