Chronique

ALAIN WEBER
Hoover Cover

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Poor records

13 titres - 40 minutes


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Jeudi 31 mars 2011

Le Lausannois Alain Weber
Alain Weber
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nous emmène dans un voyage intimiste et vaporeux de quarante minutes dans des créations uniquement instrumentales composées de cordes et de piano ou le violoncelle se taille la part belle sur des compositions ciselées, délicates et subtiles empreintes d’une douce mélancolie qui n’est pas sans rappeler Yann Tiersen
Yann Tiersen
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ou encore certains univers cinématographiques, Ryuichi Sakamoto en tête. Lors de cette raffinée rêverie contemplative au pays des harmonies vous allez parcourir des paysages nuancés confectionnés avec attention de musiques dites classique voire religieuses… avec ça et là quelques reprises surprenantes comme Personnal Jesus de Depeche Mode
Depeche Mode


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, voire L’été Indien (rebaptisé ici Indian Summer) de Joe Dassin

On pourrait facilement croire que Hoover Cover se veut pédant, mais déjà l’apriori vacille lorsqu’on apprend que l’album a été entièrement composé sur Garage Band pour n’être ensuite peaufiné sur Protools que lors du mixage final, et celui-ci s'efface définitivement lorsqu’on apprend qu’Alain Weber
Alain Weber
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compose à l’oreille et travaille avec un échantillonneur pour assembler les archets symphoniques aux petites orchestrations plus intimistes pour mieux créer ainsi ses univers éthérés.
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