Article

Metal Factory : 2.000 heures d’émission au service du metal et c’est pas fini !

Lundi 2 novembre 2020

Il y a quelques jours, Metal Factory fêtait ses 20 ans avec l’émission n°1.018 ! Aux commandes de cette émission belge 100% metal, 3 animateurs (OliFant, Christophe et Serge/Golgoth) et 1 chroniqueur (Saïd).
De problèmes techniques en joyeux bordel organisé en passant par des impros, la radio a présenté plus de 2.000 heures d’émission et 476 interviews de groupes majoritairement belges mais aussi français, suédois, norvégiens, américains, etc.
OliFant, Christophe et Serge/Golgoth ont partagé avec nous quelques souvenirs et projets. Saïd n'avait rien à ajouter :-)




Comment a commencé l'aventure Metal Factory ?

OliFant : Je ne suis arrivé qu'en 2005, donc c'est plutôt aux autres de répondre.

Serge : Je m’en souviens comme si c’était hier. Il y a 20 ans, lors d’un vendredi réservé aux anciens de mon cercle estudiantin, on a commencé à délirer autour du metal avec Christophe. On a écouté plusieurs morceaux dans ma voiture en évoquant l’histoire des groupes et des influences. On a terminé au bar en écoutant du Misanthrope
Misanthrope


Clique pour voir la fiche du groupe
.

Christophe : En gros, cela faisait déjà 6 ans que je produisais l’émission « Not Only (-) » sur Radio Air Libre et j’avais opté à l’époque pour des séquences mensuelles. Le quatrième mardi du mois était consacré au metal, avec « Negative… Ex Tenebris ». Nous avons convenu d’une participation de Serge (Golgoth) comme chroniqueur à cette séquence. Nous en avons fait 2 au printemps, avant de proposer le projet d’une émission hebdomadaire de 120 minutes au Conseil de Gestion de Radio Air Libre. Ils nous ont fait confiance, malgré l’idée que les gens se font parfois de la scène metal, et ils ont dégagé pour nous une jolie plage horaire : le mardi à 20 heures, dans la foulée de « Not Only (-) ». À l’époque, avec Monsieur Spok (ndlr : co-fondateur de l’émission qu’il a quitté en 2005), on utilisait parfois le slogan « un peu de culture dans ce monde de brutes ».

« C’est vrai que l’un des points importants du projet était de montrer à quel point, d’une manière générale, le metal était loin du cliché du metalleux boutonneux aux cheveux gras et à la pensée étroite véhiculée par certains. »

Comment sont construites les émissions? Qui décide de quoi ?

Christophe : Ça dépend du contenu du jour, si on a une interview, si un chroniqueur y participe, etc. et de la personne qui la réalise. On organise des tournantes. Pour ma part, par exemple, je ne participe plus qu’à 1 émission sur 2, grosso modo, depuis quelques années. Je sais que j’ai mon schéma, avec des titres passés 2 par 2 comme on le faisait déjà il y a 20 ans, tandis que Golgoth et OliFant préfèrent grouper les titres par séquences de 3. Et je construis habituellement l’ordre de passage en direct en puisant dans une sélection de morceaux faite au préalable, souvent excédentaire au temps d’antenne, tout en veillant à varier les styles musicaux.

« La seule chose qu’on essaie de maintenir d’émission en émission, c’est la séquence « Belg’zébuth » qui met en lumière un artiste belge et qui tombe en milieu de programme. Même si on n’y arrive pas toujours. »

Serge : Je suis passé d’une émission hebdomadaire à une émission sur deux il y a 5 ou 6 ans car ma vie de famille commençaient à prendre plus de place. En ce qui me concerne, je suis le plus brouillon, je le concède sans scrupules, car mon job me demande de longs déplacements en voiture et j’en profite pour écouter ce que nous recevons des labels ou des groupes. Enfin, ça, c’est en théorie, car je ne prends pas de notes et le jour de l’émission, il m’arrive de passer un titre pas du tout démonstratif de l’album.

OliFant : Personnellement, j'aime bien avoir un canevas plus ou moins précis avant de commencer l'émission. A minima, une liste de morceaux à diffuser. Après, ce n'est pas toujours possible et il y a toujours une part plus ou moins grande d'improvisation. Avec les années, on a appris à gérer presque toutes les situations en direct ! C'est souvent le bordel, mais on essaie de garder ce bordel organisé (rires).

Qu'est-ce qui vous motive à vous investir dans cette radio, bénévolement j'imagine?

OliFant : En effet, nous payons tous une cotisation à la radio pour pouvoir faire ça. La motivation principale reste que même si je ne faisais pas de radio, je m'investirais sans doute malgré tout dans la scène metal. C'est un peu la même motivation que pour les musiciens : on choisit ce style par passion et pas par souci de rentabilité, sinon c'est mort dès le départ ! C'est sans doute ce qui explique notre longévité, malgré le fait qu'on soit tous pères de famille avec un boulot à temps plein en plus de la radio.

Christophe : Pour moi, c’est avant tout une passion pour la radio qui m’a fait me lancer dans le bain au milieu des années 90 alors que j’étais encore adolescent. J’avais déjà des goûts plus « pointus » que beaucoup, mais pas exclusivement metal. Radio Air Libre et les trois émissions dans lesquelles je m’investis sans compter, font vraiment partie de ma vie. Elles font qui je suis au moins autant que je fais ce qu’elles sont.

Serge : J’aime beaucoup l’idée de « bande » et de retrouver mes potes régulièrement ! Saïd, qui bosse sur Bruzz et qui nous a rejoints comme chroniqueur, a évoqué la chance que nous avions de ne pas être seuls et c’est un de mes principaux moteurs.

''Il y a aussi le fait que nous sommes en quelque sorte récompensés pour notre « travail » en étant backstage, en pouvant faire des interviews et en recevant de très nombreuses démos ou albums.''

Et puis, bien sûr, il y a le fait de baigner dans le metal et son univers, car en tant que metalleux, j’aurais tant voulu m’investir dans ce milieu de façon active, en tant que musicien ou organisateur de concerts par exemple. Alors, quand j’ai eu la chance d’évoquer la radio avec Christophe, j’ai foncé tête baissée. Et ça fait 20 que ça dure.


En 20 ans, quelles évolutions (positives ou négatives) de la scène metal avez-vous pu constater ?

OliFant : Avec l'avènement d'Internet, la scène se diversifie plus. Il y a plus de DIY, ou en tout cas ce DIY est plus visible, plus professionnel. On ressent moins la mainmise des labels sur le paysage musical. C'est positif d'un point de vue culturel, mais le problème en ce qui me concerne est qu'il y a un tel foisonnement dans l'offre qu'il est impossible de tout écouter ou tout connaître, il y a inévitablement des groupes qui passent à la trappe. Du coup, j'ai aussi tendance à ne plus passer autant de temps qu'avant avec les albums que j'achète. J'ai l'impression que je prenais davantage le temps d'apprivoiser les albums que j'achetais à l'époque, maintenant je suis parfois un peu englouti dans le flot de sorties.



Christophe : Il y a aussi la mutation des supports et des formats que j’ai parfois difficile à suivre. Moi qui suis encore très attaché au support physique, j’ai difficile à réaliser que sortir une vidéo sur YouTube soit une sortie. J’attends l’album, ou l’EP, à la limite, mais celui-ci ne viendra peut-être jamais. J’imagine que c’est plus économique et surtout plus en phase avec la consommation de la génération Spotify, plus habituée à écouter un titre qu’un album complet, mais c’est vrai qu’il a fallu s’adapter dans l’émission et présenter ces sorties au même titre que les autres. Et évidemment, là où des groupes nous sollicitaient pour la diffusion de leurs opus tous les deux ou trois ans, maintenant, ils sont là tous les quatre ou cinq mois pour leur vidéo ou leur single, alors que nous n’avons toujours que deux heures par semaine pour en parler.
Pour revenir à ta question, outre la multiplication de l’offre induite par l’ère numérique, on peut quand même souligner l’évolution des styles musicaux. Si l’on se replonge à l’ère de nos premières émissions, on vivait l’explosion du nu-metal, que je relayais dans ma programmation et qui fut une sorte d’étoile filante dans le ciel metal. Et dans les styles que je chronique toujours, j’ai aussi envie de relever l’incroyable progression de la scène française. Dans les années 90, à deux ou trois exceptions près, « France » ne rimait pas vraiment avec metal. Mais là, des labels prometteurs de l’époque sont devenus incontournables désormais (Season of Mist, Listenable, Osmose, etc.) et de nouveaux sont apparus (Les Acteurs de l’Ombre, Debemur Morti, etc.), redonnant un véritable coup de fouet à toute une scène très intéressante à l’instar de Regarde les Hommes Tomber
Regarde les Hommes Tomber


Clique pour voir la fiche du groupe
ou The Great Old Ones
The Great Old Ones


Clique pour voir la fiche du groupe
.

Serge : Je ne comprends pas qu’on dise que le metal est mort ou moribond, il y a un flot incessant de sorties de toutes sortes et de niveaux très différents, mais toutes dans l’esprit metal !

« D’ailleurs je me souviens de réflexions de groupes qui allaient toutes dans le même sens : « S’il n’y avait pas autant de sorties et de concurrence, nous pourrions être un grand groupe, malheureusement nos productions sont noyées dans la masse. J’avoue qu’ils n’ont pas tort. »

Le split d’Exuviated
Exuviated


Clique pour voir la fiche du groupe
en est la démonstration. Par contre, il n’y a plus de nouveaux grands groupes fédérateurs, je ne vois pas de nouveaux Iron Maiden
Iron Maiden


Clique pour voir la fiche du groupe
ou Judas Priest
Judas Priest


Clique pour voir la fiche du groupe
. Il y a plutôt des masses de groupes moyens par la taille avec une fanbase solide et fidèle. Peut-être que le futur me donnera tort et que le nouveau grand groupe est en devenir.

2 heures d'émission/semaine. Est-ce suffisant/équitable par rapport aux autres médias culturels qui nous bassinent avec de la musique de m... ?

Serge : Je ne sais pas ce que tu qualifies de musique de m… Moi, ma limite c’est de la musique jouée par des humains, ce qui place le metal au centre du jeu vu que les musiciens doivent avoir un sacré niveau.

« Ceci dit, j’avoue que je suis toujours choqué de voir la place que réservent les médias mainstream au metal. Il suffit de regarder la caricature du Petit Journal qui nous ressort les mêmes poncifs chaque année au moment du Hellfest, ou la RTBF qui pense passer du metal en diffusant Nothing Else Matters. »

Du coup, je ne dirais pas qu’il y a déséquilibre car, soyons honnêtes, cela ne plait pas à tout le monde, mais il y a un grand manque de respect et une image tronquée des métalleux qui, ne se prenant pas au sérieux, y contribuent malgré eux.

OliFant : Il y a deux écoles : ceux qui pensent que le metal doit rester underground et ceux qui militent pour une plus grande reconnaissance du style. Personnellement, je ne me positionne pas vraiment. Plus on parle de metal, plus le metal deviendra connu, fatalement. Il ne faut pas oublier qu'au final, ça reste une musique clivante : combien de fois n'est-on pas accueilli par un ''j'aime pas quand il crie'' quand on essaie de faire découvrir un groupe à un profane ?
Pour en revenir à ta question, 2 heures par semaine, ce n'est clairement pas suffisant pour couvrir toute la scène. Du coup, on essaie de temps en temps de mettre en lumière certaines initiatives plus confidentielles, tout en n'oubliant pas de nous faire plaisir au passage. Mais vu nos vies déjà bien remplies, je ne suis pas sûr qu'on arriverait à préparer plus de deux heures de contenu par semaine, même si on le voulait.

Christophe : Oui, il faut bien garder à l’esprit que pour faire 120 minutes d’antenne, il faut des heures et des heures de travail en coulisse, que nous faisons bénévolement semaine après semaine.

« Et la question, à l’heure de l’offre numérique illimitée, c’est de savoir à quel point la valeur ajoutée, que nous pensons apporter par rapport aux plateformes de streaming musical par exemple, touche sa cible : à quel point les fans de metal sont-ils à l’écoute des émissions de radio spécialisées ? »

Sur Bruxelles et la Wallonie, nous sommes quand même encore quelques-uns, chacun avec des caractéristiques propres, mais il y a moyen d’écouter une émission de metal par jour, quasi, rien qu’en se branchant sur les streamings. Mon rêve serait d’ailleurs que quelqu’un construise une plateforme unique où l’on pourrait facilement retrouver toutes ces émissions de radio de rock et de metal que nous sommes encore quelques passionnés à produire chaque semaine sur diverses radios à travers le pays et qui mériteraient une meilleure visibilité.

Un artiste que vous rêvez de recevoir/d'interviewer ?

OliFant : J'ai eu la chance de rencontrer presque toutes mes idoles, du coup je n'ai plus énormément d'attentes particulières à ce niveau-là. Et puis quand je vois qu'on a déjà à notre palmarès des interviews de groupes comme Iron Maiden
Iron Maiden


Clique pour voir la fiche du groupe
ou Motörhead
Motörhead


Clique pour voir la fiche du groupe
, même si je n'y ai pas participé personnellement, je me dis qu'on a déjà couvert pas mal de terrain !

Christophe : Pas mieux. J’ai déjà rencontré la plupart de mes groupes préférés. Pour le plaisir, j’irais bien enregistrer une interview avec Metallica, mais sinon, je rêverais plus de créer des émissions en studio avec des groupes très importants dans mon univers musical et avec des personnes que j’ai déjà rencontrées et avec qui le courant est très bien passé.

« Une interview suivie d’une session privée dans notre studio, aux bougies, avec My Dying Bride
My Dying Bride


Clique pour voir la fiche du groupe
ou avec Moonspell
Moonspell


Clique pour voir la fiche du groupe
, ce serait quand même de la balle ! »


Serge : J’ai eu le bonheur incroyable d’interviewer Helloween
Helloween


Clique pour voir la fiche du groupe
avec mon fils qui partage mon admiration pour ce groupe. Maintenant, je me ferais bien un tête-à-tête avec Dani Filth, mais pas forcément pour parler musique. Je crois qu’il est réellement habité. Je n’oublierai jamais sa remarque « les gens pensent que je fais ma vaisselle en gants de cuirs et combi résille et que je n’aime pas ma famille… mais qui sont-ils ? » Sinon, je dois dire que j’ai la chance d’avoir des groupes belges qui sont devenus des amis dans le privé.

En 20 ans, il y a eu plus de 1.000 émissions. Quels sont vos meilleurs souvenirs à l'antenne?

OliFant : Toutes les émissions qu'on a enregistrées à l'extérieur ont été marquantes pour moi : on en a fait une en live à une fête estudiantine avec courses de trottinettes, la 666e à la MJ Le Gué de Woluwé-Saint-Lambert, la 800e à Wissant, la millième à Milmort, nos émissions spéciales LOUD by Court-Circuit enregistrées dans les backstages du Botanique. Je me souviens aussi de la venue du groupe italien Nanowar lorsqu'ils venaient tout juste de changer leur nom en Nanowar of Steel
Nanowar of Steel


Clique pour voir la fiche du groupe
. Ils ont débarqué à 5 dans une seule bagnole avec leurs instruments parce qu'ils faisaient une mini tournée européenne. Ils sont venus au studio pour une interview et le lendemain on a été les voir jouer devant une dizaine de personnes à Anvers où ils vendaient leurs CDs gravés faits maison. C'est drôle de se dire qu'ils sont maintenant signés chez Napalm Records, qu'ils font des vidéos avec des millions de vues et qu'ils s'offrent Michael Starr de Steel Panther dans leur dernier clip !



Christophe : Comme Oli, les émissions qui nous sortent de notre routine font les meilleurs souvenirs ! La 800e à Wissant, sur la Côte d’Opale, c’était à la base pour le jeu de mots, bien évidemment (comme la 1000e à Milmort), mais on en a fait vraiment une chouette émission, en l’enregistrant à la terrasse d’un restaurant, avec l’interview de Lethaeos
Lethaeos


Clique pour voir la fiche du groupe
, un groupe local de death technique que j’avais recherché sur le web mais qui avait un sacré niveau. En consacrant l’autre moitié du programme à Listenable Records, le célèbre label installé à quelques kilomètres de là. À part ça, avoir les Espagnols de Diabulus in Musica
Diabulus in Musica


Clique pour voir la fiche du groupe
en studio pour une session acoustique a aussi été un grand moment.

Serge : Je mets aussi une mention spéciale à l’émission anniversaire de la 200e durant laquelle Trouble Agency
Trouble Agency


Clique pour voir la fiche du groupe
, Breathstealer et Metal Organization avaient débarqué au grand complet avec un gâteau. Cela m’avait réellement touché ! Et puis on a aussi eu la chance d’avoir Pompon en studio plus récemment, encore un grand moment.

La pire émission?

OliFant : Pour moi, c'est une émission qui n'a pas eu lieu. Je devais la faire en solo et je suis arrivé devant la porte du studio en me rendant compte que j'avais oublié les clés chez moi. Vu que l'aller-retour m'aurait pris une heure et demie, j'ai dû capituler.

Serge : Pour moi, la pire émission c’est une émission que je dois faire seul. Je suis incapable de coordonner la programmation, l’animation et la technique. Du coup je remercie mes camardes d’éviter la situation autant que possible (big up les gars) !

Vos projets pour le futur de la radio?

OliFant: J'ai toujours l'espoir fou qu'un jour, on arrive à ne plus être en retard pour tout et qu'on soit plus structurés, plus professionnels. C'est complètement utopique, mais bon (rires). Sinon continuer, continuer, continuer.

Christophe : Quant à moi, cela fait 20 ans que je participe activement à faire vivre Metal Factory et au début de l’année prochaine je ferai un pas de côté pour me concentrer sur mes deux autres émissions de radio, « Not Only (-) » et « Locos Locaux ». Je ne quitte pas l’émission, mais j’ai davantage envie d’y participer à travers des chroniques mensuelles, des séquences spéciales ou des événements particuliers.

''Ma présence plus rare modifiera inévitablement l’équilibre actuel de l’émission, car Metal Factory a toujours été marquée par la diversité et la complémentarité des goûts et des personnalités de ses animateurs. Mais ce ne sera pas la première fois, vu qu’au total, à travers ces 20 ans, ce sont déjà 10 personnes qui y ont contribué, de façon intensive ou plus discrète.''

Serge : Je n’en sais vraiment rien. J’arrive tout doucement à mes 55 ans tout en en ayant toujours 20 dans la tête. J’ai dit que j’arrêterais à mes 40 ans, puis à mes 45. Maintenant je me dis que j’arrêterai quand j’en aurai marre, mais vu comment ça se passe entre nous, je ne sais pas si cela arrivera un jour, on fait quand même une belle bande !

Rappelez-nous où et quand on peut écouter Metal Factory?

OliFant : C'est tous les mardis de 20 à 22h sur les ondes de Radio Air Libre, une radio libre qui émet sans pub sur le 87.7FM en région bruxelloise et en streaming sur radioairlibre.net. On a aussi notre site Internet metalfactory.be, une page Facebook et une sélection d’émissions (telle que celle de nos 20 ans justement) est disponible sur notre page Mixcloud.
N'hésitez pas à nous contacter, et merci à toute l’équipe Shoot Me Again pour votre boulot !

Merci les gars. Tout le plaisir est pour nous !
Le lien pour écouter l’émission des 20 ans : https://www.mixcloud.com/metalfactory/metal-factory-1018/?fbclid=IwAR1Ua7zkn0RlbEBNJISKfaF6HIyn3NvgR8crdVJ9SVI23KegOTL75KjRcPE
TU AS AIME ? PARTAGE !
Google +
Twitter
Facebook
Whatsapp
E-mail
E-mail
Google +
Twitter
Facebook
AUTEUR : Isabelle
Ancienne journaliste notamment pour la presse régionale de la province de Luxembourg, elle a couvert, avec son carnet et son appareil photo, beaucoup...
Ancienne journaliste notamment pour la presse régionale de la province de Luxembourg, elle a couvert, avec son carnet et son appareil photo, beaucoup de concerts et événements culturels et musicaux. Les conditions de travail des journalistes (qui ne sont toujours pas au top, soit dit en passant) ont fait qu’elle a réorienté sa carrière ve...
Ancienne journaliste notamment pour la presse régionale de la province de Luxembourg, elle a couvert, avec son carnet et son appareil photo, beaucoup de concerts et événements culturels et musicaux. Les conditions de travail des journalistes (qui ne sont toujours pas au top, soit dit en passant) ont fait qu’elle a réorienté sa carrière vers un autre secteur et qu’elle est devenue terriblement en manque… d’écriture. A rejoint l’équipe en ju...
Ancienne journaliste notamment pour la presse régionale de la province de Luxembourg, elle a couvert, avec son carnet et son appareil photo, beaucoup de concerts et événements culturels et musicaux. Les conditions de travail des journalistes (qui ne sont toujours pas au top, soit dit en passant) ont fait qu’elle a réorienté sa carrière vers un autre secteur et qu’elle est devenue terriblement en manque… d’écriture. A rejoint l’équipe en juillet 2016....
Ancienne journaliste notamment pour la presse régionale de la province de Luxembourg, elle a couvert, avec son carnet et son appareil photo, beaucoup de concerts et événements culturels et musicaux. Les conditions de travail des journalistes (qui ne sont toujours pas au top, soit dit en passant) ont fait qu’elle a réorienté sa carrière vers un autre secteur et qu’elle est devenue terriblement en manque… d’écriture. A rejoint l’équipe en juillet 2016....

► COMMENTAIRES

Tu dois être connecté pour pouvoir commenter !

Soit en deux clics via Facebook :

image

Soit via l'inscription classique (mais efficace) :

image

► A VOIR ENSUITE