Reportage

Revelation Fest 2023 : Une dernière danse et puis s'en va !

Aarschot (JC De Klinker), le 10-06-2023

Vendredi 16 juin 2023



Quand on parle de festival typé Hardcore en Belgique, on pense directement aux mastodontes que sont le Groezrock et l’Ieperfest. Néanmoins, il existe tout un tas d’évènements d’une moindre ampleur, qui tentent de survivre un peu partout dans le pays. C’est le cas du Revelation Fest ! Organisé depuis maintenant 6 ans et comptant 4 éditions, le festival s’est vu accueillir un grand nombre d’artistes venant des quatre coins du monde. On pourrait citer Broken Teeth
Broken Teeth


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, Leeway
Leeway


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, Malevolence
Malevolence


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, Vein.fm
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ou encore Guilt Trip
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. Bref, des beaux noms internationaux qui se mélangent avec une part non négligeable de tout ce qui se fait de mieux chez nous (Arkangel
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, Length of Time
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, etc.). L’édition de cette année prolonge cette logique avec un mélange d’anciennes gloires américaines (No Warning
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, Shutdown
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et One King Down
One King Down


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), des figures locales montantes (Mindwar
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, Redemption Denied
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, etc.) et bien plus encore. Néanmoins, cette cuvée 2023 a une saveur un peu particulière car peu de temps avant le jour J, nous avons appris sur les réseaux sociaux que ce sera la dernière édition. La faute à un nombre insuffisant de préventes mais également à cause des pertes financières occasionnées lors des éditions précédentes.

C’est donc avec cette perspective de dernière danse que je me rends à la JC De Klinker à Aarschot en ce samedi 10 juin et sous un soleil tapant. Première surprise en arrivant dans la petite bourgade, je remarque que les dispositifs de police et les déviations sont nombreux. Je vais vite comprendre que cela n’est pas dû au festival mais à cause d’une course cycliste passant dans la région. Une fois sur place, je découvre l’agencement du site qui se compose d’une première scène intérieure se trouvant au sein de la JC De Klinker et d’une deuxième, en extérieur, couverte par une petite tonnelle. L’ensemble du festival n’est pas très grand mais est largement suffisant pour accueillir les quelques 200-250 personnes présentes. De plus, un des grands points positifs du festival est que tous les groupes s’enchaînent d’une scène à l’autre sans aucun clash. Je vais donc pouvoir profiter pleinement des 14 formations qui composent cette affiche.



Initialement prévus sur les coups de 13h, les Néerlandais de Dogma
Dogma


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ouvrent le festival avec quelques minutes de retard. Distillant un Metallic Hardcore hyper efficace, le groupe balance riffs et breakdowns dans la tronche des quelques curieux éparpillés sous la petite tonnelle extérieure. Avec un premier album nommé Face of Violence sorti quelques semaines auparavant, Dogma
Dogma


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montre tout son talent durant presque 25 minutes. Une prestation violente et rapide qui amorce parfaitement les hostilités.

Miraculeusement, le Revelation Fest ne compte qu’une annulation, celle de Vamachara
Vamachara


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(dommage car c’est le groupe que j’attendais le plus) mais heureusement, l’organisation a su vite rebondir et nous trouver un remplaçant en la personne de Game Changer
Game Changer


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. Les Belges exécutent un Beatdown Hardcore incisif porté par un chanteur qui saute dans tous les sens. J’ai un peu de mal avec sa voix criée au début mais il finit par me convaincre assez rapidement. Après seulement une quinzaine de minutes, le concert se finit et me laisse un goût de trop peu. Un groupe prometteur à revoir absolument avec quelques minutes de plus.

Je continue de naviguer dans les différents sous-genres musicaux avec, cette fois-ci, le Punk Hardcore des Néerlandais de Swell
Swell


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. Dès les premières secondes, le groupe déploie toute son énergie communicative. Comme pour la plupart des groupes présents aujourd’hui, je ne connais presque rien de leur discographie mais ça ne m’empêche pas de passer un bon moment. Les titres s’enchaînent presque sans interruption, à l’image des two-step. Bref, on continue de faire monter la sauce avant d’arriver aux gros morceaux de la journée.


Photo de Peace of Mind

Après avoir voyagé aux Pays-Bas, il est temps de passer à un autre pays limitrophe avec l’Allemagne. Peace of Mind
Peace of Mind


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, venant tout droit de Sonneberg à l’entrée de la Bavière, nous propose un Metallic Hardcore aux touches Metal bien plus présentes que celles des autres artistes de ce début d’après-midi. Pour ce qui est du public, il commence doucement à se réveiller avec déjà les premiers crowdkilling qui seront légion au-fur-et-à-mesure de la journée. A ma grande surprise, le son n’est pas parfait et est même en dessous de celui de la scène secondaire. En somme, une prestation sympathique qui, même si les compositions passent plutôt bien, ne restera pas gravée dans mon esprit.


Photo de Despize

On monte d’un cran avec les Écossais de Despize
Despize


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. D’après l’horaire, nous aurions dû avoir les Anglais de Mourning
Mourning


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mais ceux-ci ont eu un problème avec leur vol. Du coup, ils ont changé leur spot avec leur confrère britannique. La foule est dorénavant amassée autour de la tonnelle (l’intérieur étant presque exclusivement réservé au pit) et prête à en découdre. Sur scène, le groupe envoie du pâté avec des breaks d’une lourdeur insolente. Bien que sa voix soit assez surprenante (dû à une tonalité grave et un phrasé presque nonchalant), le chanteur transpire le charisme et chauffe les mosheurs à donner le meilleur d’eux-mêmes à coup de side to side. Un chouette moment d’une formation que je dois impérativement approfondir.

Premier gros morceau de la journée et première grosse claque, les Français de Worst Doubt
Worst Doubt


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. Bien que je ne sois pas un énorme fan du groupe en studio, il faut dire qu’en live, ça décape ! Le public se rue en masse dans la salle afin de ne pas rater une seule seconde du déversement de violence qui va avoir lieu. Depuis maintenant quelques années et surtout depuis la sortie en 2021 de leur premier album Extinction, le groupe jouit d’une belle popularité dans la scène Hardcore. Armés de leur Metallic Hardcore chaotique, les Français ne sont là que pour une seule chose : détruire tout sur leur passage. En seulement 25 minutes, les mosh parts vont s’enchainer comme des petits pains et provoquer un champ de bataille meurtrier dans le pit. Au final, c’est très simple : Worst Doubt
Worst Doubt


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aura géré à la perfection sa prestation et aura su prouver que son futur risque d’être radieux.

Retour sur la scène extérieure pour accueillir Mourning
Mourning


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et son Metallic Hardcore teinté d’influences Death Metal. Même si le groupe connait une petite popularité au sein de la scène Hardcore Underground, je dois bien avouer que le public n’est pas au rendez-vous. Je ne sais pas si c’est Worst Doubt
Worst Doubt


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qui a pompé l’énergie de tout le monde ou bien les effets de la chaleur mais l’ambiance est complétement retombée. Cependant, ça n’empêche pas le groupe d’essayer de réveiller tout le monde avec un grand nombre d’appel à la bagarre. Au niveau du line up, je suis étonné de retrouver 2 membres de Despize
Despize


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sur scène. Même si, il est vrai, les projets consanguins dans le Hardcore sont monnaie courante. Après 16 petites minutes, Mourning
Mourning


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quitte la scène presque aussi vite qu’il est monté. Un concert en demi-teinte qui n’aura pas été mauvais musicalement mais qui aura faibli par son manque cruel d’ambiance.

Photo de Simulakra

Nous voilà arrivés à la seconde moitié du festival et il est temps de parler du meilleur show de la journée. Incontestablement, cette médaille revient aux Américains de Simulakra
Simulakra


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et leur Metallic Hardcore sombre et méchant. Une fois les musiciens en place et afin de rassurer tout le monde, le guitariste prend le micro et nous invite à nous rapprocher de la scène en disant que chez eux, il n’y a pas de mosh pit. Je plains les plus naïfs d’entre nous… A peine le premier riff balancé que le pit s’ouvre de manière démesurée (les retardataires auront même du mal à se frayer un chemin jusqu’à l’intérieur de la salle). Directement, on sait qu’on va passer un bon moment ! Les compositions du groupe sont percutantes, acérées et incitent clairement à la violence. Il ne fallait donc pas le dire deux fois car les mosheurs sont complétement en transe et terrassent leurs camarades à coup de crowkilling et de side to side. Une arène de gladiateur comme j’en ai rarement vu de mes propres yeux ! Sur scène, on peut dire que les musiciens sont excellents. Le chanteur gère à la perfection ses lignes vocales et son énergie se ressent dans le pit. A ce moment-là de la journée et à cause de la chaleur, la salle est un véritable four. Je suis donc bien content que le concert ne dure que 20 minutes. En conclusion, une prestation qui aura retourné toutes les personnes présentes et qui confirme que la nouvelle vague Metallic Hardcore américaine à de beaux jours devant elle.


Photo de Mindwar

Après quelques minutes de pause bien méritées, on repart à l’attaque avec cette fois-ci, les Flamands de Mindwar
Mindwar


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. S’il y a bien un groupe en vogue depuis quelques mois dans la scène Hardcore belge, c’est bien celui-ci. Grâce à la sortie mi-mai de son nouvel album Still at War sur le label américain Triple B, le groupe s’est forgé une solide réputation qui commence à sortir hors de nos frontières. Le public est donc naturellement présent en nombre pour assister à l’une des prestations les plus attendues du jour. Comme on pouvait s’y attendre, le concert est mené d’une main de maître du début à la fin. Exécutant un Metallic Hardcore aux influences Old School, Mindwar
Mindwar


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a détruit le pit avec ses breakdowns groovy à souhait. Le chanteur, à la personnalité forte et au look américain, dégage un charisme naturel qui rallie derrière lui l’entièreté du public. Des titres comme « Face the Truth » ou « Collective Compulsion » sont taillés pour le live. Après un concert pareil et la confirmation d’un succès assuré, j’espère retrouver le groupe sur des scènes plus importantes dans le futur.

Place au premier groupe vétéran du festival et également la première TA de la tournée regroupant Worst Doubt
Worst Doubt


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, One King Down
One King Down


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et No Turning Back
No Turning Back


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, j’ai nommé Shutdown
Shutdown


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. On change encore de décor avec maintenant du New York Hardcore pur jus à la Sick Of It All
Sick Of It All


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. La venue du groupe est un petit évènement car, si j’ai bien compris, c’est la première fois qu’il foule le sol belge depuis plus de 20 ans ! Un rendez-vous qu’il ne fallait absolument pas manquer quand on est fan de Hardcore. Du coup, je suis plutôt surpris de voir la salle peu remplie lorsque le concert commence. Néanmoins, le groupe est conscient qu’une partie du public ne le connait pas et remercie la nouvelle génération de fan de Hardcore de les accueillir. Une fois lancé, Shutdown
Shutdown


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balance tous ses tubes qui sont repris en chœur par quelques spectateurs. Malheureusement, j’ai du mal à rentrer dans la performance et je ne suis pas le seul car une partie de la foule quittera la salle au-fur-et-à-mesure du show. Pourtant, les musiciens se donnent à fond et sautent dans tous les sens. On ressent d’ailleurs une grande sympathie venant du frontman qui remerciera les fans plusieurs fois. La formation clôt son concert par une cover du groupe Warzone
Warzone


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et sous les applaudissements des fidèles restés jusqu’au bout.

Avant dernier groupe de la scène extérieure et encore une des sensations belges attendues, je parle bien sûr de Redemption Denied
Redemption Denied


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. Il faut dire que depuis la sortie de son deuxième album Where Dead Ends Meet l’année dernière, le groupe jouit d’un nouvel intérêt et ça se comprend vu l’efficacité de ce disque. Au programme, un Punk Hardcore métallisé à la voix criée et stridente. L’information la plus surprenante concernant la prestation du jour est que tous les musiciens (à l’exception du chanteur) ont changé de poste. La raison ? Parce qu’ils voulaient un peu pimenter leur show et ne pas garder une certaine monotonie. Pourquoi pas après tout ? Au final, on n’y voit que du feu et chaque membre gère excellemment bien ses parties. Même si l’ambiance est un peu retombée comparée à durant d’autres groupes de la journée, le chanteur n’en démord pas et continue de chauffer tout le monde en venant se balader dans la fosse. Une prestation solide qui montre que la scène belge regorge de pépites.


Photo de One King Down

Faisons place maintenant au deuxième vétéran américain de la journée, One King Down
One King Down


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. Contrairement aux autres, la formation est dotée d’un temps de jeu plus conséquent (55 minutes normalement) mais comme à l’habitude dans le Hardcore, la performance ne durera pas plus d’une quarantaine de minutes. A l’image de Shutdown
Shutdown


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, il y a moins de monde dans la salle mais on repère directement les die hard fan placés juste devant la scène (dont les chanteurs de Mindwar
Mindwar


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, Game Changer
Game Changer


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ou encore Redemption Denied
Redemption Denied


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). Le frontman de ce dernier va même se faire plaisir en montant sur scène et en prenant le micro à plusieurs reprises. Ça n’étonnera personne mais One King Down
One King Down


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, après autant d’années d’expérience, gère parfaitement sa prestation. Leur Punk Hardcore est fortement métallisé et pour nous montrer leur affiliation au style, ils nous font l’offrande d’interpréter « South of Heaven » de Slayer
Slayer


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. Un concert sympathique mais à l’ambiance flottante sans doute due à la journée éreintante.

C’est donc No Turning Back
No Turning Back


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qui a le privilège de clôturer la scène extérieure. Vu le monde présent, je me demande si ce ne sont pas eux les véritables têtes d’affiche du festival. Sur les 14 formations présentes aujourd’hui, c’est la seule que j’ai déjà eu la chance de voir en live, il y a maintenant 6 ans (au Groezrock 2017). Depuis, j’avoue ne pas avoir suivi son actualité mais j’ai tout de même hâte d’assister à sa prestation. Durant presque 40 minutes, les fans vont se donner à cœur joie de démolir tous ceux qui se trouvent dans le pit. Les side to side commencent même à devenir dangereux car les barrières qui délimitent le site du festival, se trouvant sur le côté droit de la scène, servent de trampoline pour les mosheurs afin de repartir dans l’autre sens. Des membres du festival sont même là pour tenir les barrières afin qu’elles ne tombent pas. Je ne vais pas vous le cacher mais je comprends totalement pourquoi tout le monde s’est précipité pour voir No Turning Back
No Turning Back


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. Les compositions sont efficaces et le chanteur, charismatique, fait des blagues lors de ses innombrables interventions. Je ne sais pas si la comparaison peut être faite mais je trouve que ce sont un peu les Terror
Terror


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néerlandais. Au final, un très bon concert qui sera passé extrêmement vite.


Photo de No Warning

Enfin, je me place une dernière fois dans la salle pour ce qui est le dernier concert du Revelation Fest. Je vais peut-être me faire taper sur les doigts mais je ne connaissais No Warning
No Warning


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que de nom avant de les voir ce soir. Sachant qu’ils sont en pleine tournée anniversaire de leur premier album Ill Blood, sorti il y a maintenant 21 ans, j’ai tout de même fait le curieux et écouté le disque avant de venir. Je ne suis donc pas totalement un touriste. Le concert commence et les fans sont déchainés ! Vu l’ambiance sur les deux autres groupes vétérans, je pensais assister à la même scène. Il n’en sera rien. Le pit est violent et les bras volent dans tous les sens. Les Canadiens pratiquent un Punk Hardcore agressif et propice au two-step. Bien qu’il soit la tête d’affiche du festival, le groupe ne jouera que leur premier album en entier puis partira sans rien dire. Mais bon, nous étions prévenus car l’horaire spécifiait bien qu’ils ne joueraient que 30 minutes. Une prestation express et intense qui ne m’aura malheureusement pas transcendé.

C’est donc sur cette dernière prestation que se clôt cette dernière édition du Revelation Fest. Il n’y aura pas eu de problème majeur à par peut être quelques problèmes de son sur la scène principale en début de journée. Que ce soit pour se déplacer sur le site du festival, pour aller se rationner en nourriture (alors qu’il n’y avait qu’un seul stand) ou bien les toilettes, tout était fluide. Les groupes auront assuré des prestations pertinentes et auront fait honneur à leurs hôtes. On ne peut que féliciter l’organisation qui aura réussi à prouver que même en tant que petite structure, il est possible d’organiser un évènement du même acabit que les grosses machines. Chapeau bas et merci pour tout !
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AUTEUR : Maxime
Après avoir fait son stage de musicologie au sein du webzine, Maxime, fervent lecteur de chroniques, décide de prolonger l'aventure en rejoignant of...
Après avoir fait son stage de musicologie au sein du webzine, Maxime, fervent lecteur de chroniques, décide de prolonger l'aventure en rejoignant officiellement l'équipe en tant que rédacteur. Fan de breakdown et de pit bien énervé, il aura grand plaisir à te faire découvrir les scènes Metalcore et Deathcore (et bien plus) sous toutes leur...
Après avoir fait son stage de musicologie au sein du webzine, Maxime, fervent lecteur de chroniques, décide de prolonger l'aventure en rejoignant officiellement l'équipe en tant que rédacteur. Fan de breakdown et de pit bien énervé, il aura grand plaisir à te faire découvrir les scènes Metalcore et Deathcore (et bien plus) sous toutes leurs formes....
Après avoir fait son stage de musicologie au sein du webzine, Maxime, fervent lecteur de chroniques, décide de prolonger l'aventure en rejoignant officiellement l'équipe en tant que rédacteur. Fan de breakdown et de pit bien énervé, il aura grand plaisir à te faire découvrir les scènes Metalcore et Deathcore (et bien plus) sous toutes leurs formes....
Après avoir fait son stage de musicologie au sein du webzine, Maxime, fervent lecteur de chroniques, décide de prolonger l'aventure en rejoignant officiellement l'équipe en tant que rédacteur. Fan de breakdown et de pit bien énervé, il aura grand plaisir à te faire découvrir les scènes Metalcore et Deathcore (et bien plus) sous toutes leurs formes....

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