Reportage

Graspop Metal Meeting 2019 - Jour 4 : Quand t’es dans le désert

Dessel (Graspop Metal Meeting), le 23-06-2019

Jeudi 11 juillet 2019

La quatrième et dernière journée s’annonce la moins chargée de notre périple. Elle ne sera cependant pas la moins douloureuse, la faute à nos organismes affectés par des dizaines d’heures à rester debout et une chaleur tropicale qui s’abat sur la plaine de Dessel en ce jour de clôture.

En arrivant au niveau de la fouille, la sécurité refuse de nous laisser entrer sur le site avec une bouteille d’eau vide sans capuchon. Etant donné la chaleur infernale qui se fait ressentir, cette politique nous paraît assez regrettable.

Une fois n’est pas coutume, en ce dimanche nous allons enchainer deux groupes devant les Main Stage en cours de journée, le duo Gojira
Gojira


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/In Flames
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nous faisant les yeux doux. Nous sommes en route pour attaquer la dernière ligne droite d’un festival au top, allons-y !

Skálmöld * Marquee * 13h00 – 13h40

Aux alentours de 13h00, nous avançons péniblement dans la Marquee en vue de nous positionner de manière à avoir une vue dégagée en direction de la scène. La chaleur est accablante, nous avons l’impression de suer par tous les pores de notre peau même en restant immobile ; il y a plus de monde assit dans le fond de la Marquee tentant de supporter les conditions climatiques qu’aux avant-postes.

Skálmöld
Skálmöld


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propose un voyage tout en douceur au pays des mélodies dansantes ; dans l’assemblée, ils sont plusieurs à danser vêtus d’un kilt dans un calme surprenant. Cette ambiance particulière est renforcée par la tranquillité affichée par les islandais qui se produisent pieds nus.

Comme Grand Magus
Grand Magus


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ou Refused
Refused


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, Skálmöld
Skálmöld


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étonne en ne retenant qu’un seul titre du dernier effort en date, Sorgir (2018). Nous retiendrons de leur prestation les ballades particulièrement enivrantes nous transportant vers les contrées islandaises. La rencontre fut charmante mais pas transcendante.

Power Trip * Jupiler Stage * 14h00 – 14h40

Après les adieux (?) à l’ancienne garde du thrash metal vendredi en fin de soirée, l’heure est venue de se tourner vers l’avenir. Pour ce faire, qui de mieux que les énervés de Dallas répondant au doux nom de Power Trip
Power Trip


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. A moins d’avoir vécu coupé du monde en 2017, vous n’avez pas pu rater leur second album, Nightmare Logic (2017) ; si vous êtes en défaut, dépêchez-vous d’aller écouter cet opus de haut niveau. Ce second effort a permis à Power Trip
Power Trip


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d’imposer leur crossover thrash grâce à une hargne redoutable. Alors, studio et live, même combat ?

S’il est question de hargne redoutable en studio, nous avons appris à nous dépend que celle-ci équivalait à un bus vous passant sur le corps en concert. Le bal infernal est mené par Riley Gale, petit chanteur –par la taille- excité à la tenue vestimentaire atypique. Il est hors de question d’assister à un show rodé dont les exécuteurs se reposent sur leur capacité technique, les américains cherchent à assommer le public en le poussant au sol encore et encore. Il aura fallu attendre le dernier jour du Graspop version 2019 pour que du thrash metal nous bouscule mais peu importe, le jeu en valait la chandelle.

Outre des compositions modernes, nous sommes charmés par le son cristallin produit, preuve que la Jupiler Stage peut proposer des paramétrages sonores aux petits oignons. Pour couronner le tout, l’ambiance est au beau fixe, à l’image du crew qui s’amuse à nouveau à slammer de l’avant vers l’arrière de la foule. Nous espérons que la prochaine fois que nous croiserons Power Trip
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à Dessel, leur position dans la hiérarchie soit plus élevée, récompense méritée au regard de la qualité de leur projet.

Gojira * Main Stage 1 * 15h20 – 16h10

Nous arrivons à un instant inédit de cette édition 2019 puisque nous allons enchainer deux groupes qui se produisent au niveau de la Main Stage 1 et 2 alors que nous sommes encore tôt dans le déroulement de la journée. Il faut dire que sur papier, le duo Gojira
Gojira


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/In Flames
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était alléchant.

Devons-nous vraiment vous présenter Gojira
Gojira


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? Les français, ancien Godzilla, sont devenus de véritables locomotives du metal français en s’imposant à l’international. Que se soit en studio ou sur les planches, ils vous claquent leur son identifiable entre mille avec une efficacité redoutable. Le public répond présent de la barrière au fin fond de la plaine, du côté du portique de sécurité, s’en est impressionnant. En nous imposant aux avant-postes, nous nous attendions à recevoir la fessée, mal nous en a pris.

Vous avez surement déjà lu de nombreux reports ou chroniques relatant les innombrables qualités de Gojira
Gojira


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. Nous ne les renions pas, mais nous sommes d’avis qu’elles nécessitent d’être nuancées. Nous avons assisté à cinquante minutes d’un show calibré au millimètre près : les flammes jaillissent pour impressionner, Mario Duplantier lance ses baguettes au milieu d’une composition et continue avec de nouvelles comme si de rien n’était, son frère exige un wall of death et l’obtient…le résumé ferait penser à un moment de folie, mais tel n’est pourtant pas le cas. Ce qui nous impressionne chez Gojira
Gojira


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, c’est le côté viscéral de ces albums. Cette prise aux tripes n’est pourtant pas déployée devant nos yeux. Au contraire, nous ressentons la sensation d’être enfermé dans un carcan tracé par nos voisins français, à l’image des déplacements entre les deux niveaux de la scène qui donnent l’impression d’être chorégraphiés (!).

Quand bien même nous n’avons pas reçu la fessée attendue, l’intervention se termine par un instant mémorable. Tel en 2017, le frontman s’adresse à tous en français, ici pour clôturer le temps imparti en annonçant espérer nous revoir en festival en 2020. L’emploi du français à grande échelle à Dessel reste provocateur et nous arrache un rire intérieur.

In Flames * Main Stage 2 * 16h20 – 17h15 (présent de 16h20 à 17h05)

Malgré les derniers albums qui peinent à atteindre le lustre d’antan, In Flames
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garde une place de choix dans le cœur de ses fans. Il faut dire qu’au-delà de l’héritage laissé par plusieurs années passées au sommet de leur art, ils ne déçoivent presque jamais en live. Ainsi, malgré une chronique assez mitigée d’I, the Mask (2019), nous nous étions inclinés devant l’excellente prestation au Trix en avril 2019, au point de vouloir remettre le couvert.

Pour notre plus grand bonheur, In Flames
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confirme son état de forme et démontre à nouveau qu’en concert, il est compliqué de les prendre en défaut. Anders Fridén, toujours aussi en voix, mène la danse de mains de maître. L’ambiance est au beau fixe, la foule semble captivée par le spectacle offert.

Le seul bémol concerne la setlist. Il s’agit exactement de la même qu’au Trix mais écourtée étant donné le temps de jeu dédié. Les titres s’enchaînent à l’identique : Voices, Everything’s Gone, Pindball Map… un peu de diversité n’aurait pas fait de tort. Pour le reste, nous en avons pour notre argent mais devons nous éclipser après (This is Our) House pour aller nous abriter en Marquee en compagnie d’Insomnium
Insomnium


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.

Insomnium * Marquee * 17h10 – 18h00

Insomnium
Insomnium


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a marqué 2016 avec son album conceptuel Winter’s Gate, composé d’une piste unique de quarante minutes se subdivisant en sept parties. Le septième long effort de leur discographie reflète une sensibilité et une finesse qu’on ne leur connaissait pas jusqu’alors. Encore marqués au fer rouge par cette œuvre, nous attendions beaucoup de leur venue à Dessel avant la sortie prochaine d’un nouvel opus.

Avec la présence de zéro partie de Winter’s Gate dans le setlist délivrée, nos espoirs sont déçus. A la place, nous avons droit à un tour d’horizon d’Across the Dark (2009), Above the Deeping World (2006), Shadows of the Dying Sun (2014) et One for Sorrow (2011). Etonnement, les morceaux habituellement plébiscités ne sont pas de sortie, à l’exception d’Ephemeral et While we Sleep.

Bien que moins émotionnelle qu’espérée, les finlandais délivrent une prestation solide renforcée par une envie indéniable de prendre du plaisir ; la faible affluence semble pourtant être prisonnière d’une forme de léthargie. L’alchimie entre les membres du groupe n’est pas récompensée par un retour de l’audience, c’est quelque peu désolant. Pour notre part, lorsque nous ne sommes pas aveuglés par les jeux de lumières à devenir épileptique, nos yeux sont souvent rivés sur le batteur Markus Hirvonen qui fait preuve de capacités techniques au-delà de la moyenne.

Entre un choix de titres surprenants et un public timide, la prestation d’Insomnium
Insomnium


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ne restera pas dans les annales.

Whitesnake * Main Stage 1 * 17h25 – 18h35 (présent de 18h00 à 18h35)

Nous profitons des trente minutes de libre dans notre programme du jour pour aller nous balader au niveau de la Main Stage 1 en écoutant la fin du set de Whitesnake
Whitesnake


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. Avec également Def Leppard
Def Leppard


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au programme, le dimanche réserve une place de choix à l’ancienne garde du (hard) rock, ce qui paraît cohérent avec la clôture du festival par la légende Kiss
Kiss


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.

Profiter de Whitesnake
Whitesnake


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après Insomnium
Insomnium


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consiste en un exercice de grand écart maximal. Le poids des années se fait clairement ressentir, les anglais sont par moment à la peine. Pour autant, il reste plaisant d’entendre les célèbres Here I Go Again ou Still of the Night. Plaisir coupable empreint d’une certaine nostalgie, la demi-heure aura suffi à notre bonheur et il n’en aurait pas fallu plus.

Possessed * Marquee * 18h40 – 19h30 (présent de 18h40 à 19h15)

Précurseur du death metal, Possessed
Possessed


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nous a gratifié du très bon Revelations of Oblivion (2019) il y a quelques semaines. Il s’agit d’un véritable « miracle » puisque 33 ans (!) séparent la sortie de cet opus de Beyond the Gates (1986).

Malgré l’importance de l’événement, la Marquee reste désespérément peu fréquentée. Annoncée par un dong sinistre, la messe funéraire débute de façon magistrale avec No More Room in Hell. Jeff Becerra, dernier rescapé de l’époque historique, mène à la baguette ce qu’il considère être « son groupe ». Une main visée sur sa chaise roulante -héritage d’une fusillade qui d’après ma mère s’explique indiscutablement par la musique de « fou » qu’il éructe, le frontman arrive à nous brutaliser en permanence malgré sa mobilité réduite. La Marquee se transforme en un endroit sale, sombre, bercée par le bruit infernal produit de l’enfer. Les riffs sont rapides, précis et efficaces tandis que la batterie semble survoler les lieux par ses interventions percutantes.

Possessed
Possessed


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nous propose le seul véritable death metal sans concession du festival, du genre à fracasser des corps en permanence. Un véritable régal ! A 15 minutes de la fin programmée, nous devons néanmoins nous éclipser pour un dernier passage en Jupiler Stage. Nous espérons néanmoins pouvoir profiter de Possessed
Possessed


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lors d’une tournée européenne en salle dans les mois à venir tant nous avons apprécié cette rencontre avec le mal.

While She Sleeps * Jupiler Stage * 19h20 – 20h05

Nous nous lançons à nouveau dans un exercice de grand écart puisque nous décidons d’être bercés par le metalcore des britanniques de While She Sleeps
While She Sleeps


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. La Jupiler Stage est envahie de couleurs et décorations en mode « jeune dans l’air du temps ». Un assistant du groupe s’évertue à millimétrer chaque détail et donne des consignes précises aux membres de la sécurité, ce qui ne manque pas de nous étonner.

Dans une ambiance proche de l’apocalypse, les anglais déboulent avec la ferme intention de nous submerger en créant une déferlante d’énergie. Prenant principalement appui sur You are We (2017) et So What ? (2019), Lawrence Taylor et ses comparses organisent un bordel sans nom. Rapidement, les faiblesses rencontrées sur les deux derniers albums ressortent fortement : l’ensemble est fort édulcoré et laisse transparaître une forme de musique à l’accent très adolescent, qui pêche par défaut de maturé ; la moyenne d’âge du public est d’ailleurs fort basse. En invoquant ce dernier, nous retiendrons un manque de respect des codes jusqu’alors respectés durant notre séjour, avec notamment quelques exercices de crowd killing qui émergent à certains endroits.

La manque de spontanéité se fait également ressentir. Tout semble organisé à l’avance, à l’image de l’assistant qui court lorsqu’un baffle est renversé pour le remettre en place. Au vu de l’ambiance survoltée et de l’affluence massive, nous ne devons cependant pas être beaucoup à partager cet avis. Pour notre part, While She Sleeps
While She Sleeps


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semble emprunter un chemin différent que par le passé et cette nouvelle voie ne nous convient pas pour le moment.

Kvelertak * Red Bull Metal Dome * 20h15 – 21h05

En rentrant dans le Metal Dome pour notre dernière bataille de l’édition 2019, nous constatons avec effroi la masse de détritus jonchés au sol. La remarque est récurrente d’année en année mais il faudrait vraiment que l’organisateur se penche sur la problématique de l’utilisation des gobelets en plastique non réutilisables ; la collectes des gobelets contre des récompenses à gagner au ducks of t(h)rash n’est clairement pas une solution satisfaisante.

Passer cette observation à propos du manque de propreté des lieux, il est temps d’entamer ce qui s’avère déjà être le dernier morceau de bravoure de notre séjour. La lourde tâche revient à Kvelertak
Kvelertak


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dont je me réjouis de découvrir la nouvelle mouture à la suite du remplacement d'Erlend Hjelvik par Ivar Nikolaisen étant donné que, contrairement à mes collègues, je n’étais pas partie prenante à leur venue lors de la tournée européenne en compagnie de Mastodon
Mastodon


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.

Dans une ambiance festive et soutenue, le nouveau frontman nous démontre rapidement qu’il en impose : il a de la prestance, se jette dans le public, vient taper dans nos mains à la barrière, s’amuse à s’étrangler avec le fil du micro après l’avoir fait tournoyer au-dessus de sa tête etc. Il faut dire qu’en fêtant son anniversaire en notre compagnie, il ne pouvait qu’être en voix.

Comme on pouvait s’y attendre, la déferlante de tubes est exécutée à la perfection par des norvégiens qui semblent surgir de partout tant ils arrivent à occuper intelligemment la scène. La fin est annoncée par l’interprétation du morceau éponyme au nom du groupe et le show se conclu par un Ivar Nikolaisen tordant son t-shirt pour boire sa sueur. Dantesque.


A l’heure de quitter le site avec en fond sonore Ghost Division étonné par l’éternel Sabaton
Sabaton


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-comme en 2017, l’heure du bilan a sonné. Nous retiendrons principalement une organisation impressionnante qui relègue aux oubliettes les problèmes de fluidité constaté en 2018. Pour le reste, nous ne pouvons que nous incliner après avoir passés quatre jours à arpenter un festival agréable qui s’impose comme étant l’un des meilleurs du genre, notamment grâce à son affiche riche et variée. Nous terminons en mettant en avant les points positifs et négatifs principaux que nous retenons ainsi qu’en élevant au statut de « roi » les artistes qui nous ont mis une véritable mandale selon une répartition par scène.

Points positifs :

- Une fluidité appréciable sur l’ensemble du site malgré le sold-out(ne rêvez pas, l’affluence conséquente est quand même perceptible) ;
- Une organisation rarement prise en défaut (pas de file tant aux sanitaires qu’aux stands de restauration, propreté des sanitaires etc.) ;
- Un line-up costaud à tout moment de la journée ;
- La mentalité et le respect des règles de savoir-vivre par les festivaliers.

Points à améliorer :

- Les gobelets en plastique non réutilisables ;
- L’obligation d’effectuer un détour conséquent lors du trajet camping-parking ;
- Les réglages sonores trop souvent perfectibles (la faute aux ingénieurs sonores des groupes ?) ;

Les rois de la Jupiler Stage : Fever 333
Fever 333


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et Power Trip
Power Trip


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Les rois du Red Bull Metal Dome : Beast in Black
Beast in Black


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et Kvelertak
Kvelertak


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Les rois de la Marque : Philip H. Anselmo & the Illegals
Philip H. Anselmo & the Illegals


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et Cult of Luna
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Le roi de la Main Stage 1 et 2 : Trivium
Trivium


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LIVE REPORT DU JEUDI

LIVE REPORT DU VENDREDI

LIVE REPORT DU SAMEDI

Remerciements à l'organisation du Graspop Metal Meeting

Crédits photo : Graspop Metal Meeting

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AUTEUR : Renaud
Amateur de musique métal aux goûts éclectiques, il a rejoint l'équipe en vue de chroniquer diverses sorties d'album. Tu auras peut-être l'occasio...
Amateur de musique métal aux goûts éclectiques, il a rejoint l'équipe en vue de chroniquer diverses sorties d'album. Tu auras peut-être l'occasion de le croiser lors d'un concert à l'A.B., au Reflektor ou en festival. N'hésite pas à lui fait part de ton avis et des idées qui te viennent à l'esprit lors de la lecture de ces chroniques, il ...
Amateur de musique métal aux goûts éclectiques, il a rejoint l'équipe en vue de chroniquer diverses sorties d'album. Tu auras peut-être l'occasion de le croiser lors d'un concert à l'A.B., au Reflektor ou en festival. N'hésite pas à lui fait part de ton avis et des idées qui te viennent à l'esprit lors de la lecture de ces chroniques, il t'en sera reconnaissant....
Amateur de musique métal aux goûts éclectiques, il a rejoint l'équipe en vue de chroniquer diverses sorties d'album. Tu auras peut-être l'occasion de le croiser lors d'un concert à l'A.B., au Reflektor ou en festival. N'hésite pas à lui fait part de ton avis et des idées qui te viennent à l'esprit lors de la lecture de ces chroniques, il t'en sera reconnaissant....
Amateur de musique métal aux goûts éclectiques, il a rejoint l'équipe en vue de chroniquer diverses sorties d'album. Tu auras peut-être l'occasion de le croiser lors d'un concert à l'A.B., au Reflektor ou en festival. N'hésite pas à lui fait part de ton avis et des idées qui te viennent à l'esprit lors de la lecture de ces chroniques, il t'en sera reconnaissant....

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